« Le 18 avril 2001, un lycéen kabyle de 18 ans, Guermah Massinissa, fut abattu par un gendarme dans la salle d’attente de sa caserne à At Dwala, à 20km au Sud-Est de Tizi-Ouzou. Cet acte criminel contre un Kabyle, perpétré par un gendarme aussi raciste que le pouvoir algérien envers tout ce qui est kabyle, déclencha une révolte sans précédent en Kabylie, appelée le "printemps noir" », a indiqué le MAK-France dans un communiqué.
Il a souligné que « ces événements ont duré pas moins de trois ans pendant lesquels, la Kabylie organisait inlassablement des marches, des sit-in, des rassemblements, des grèves générales ou locales. »
« Pendant plus de 800 jours, le peuple kabyle, tenace et courageux, tentait d’imposer au régime algérien, son droit à la vie et à sa reconnaissance. Mais le pouvoir algérien, ne connaissant d’autre langage que celui de la violence et de la répression, n’a pas hésité à abattre pas moins de 126 autres Kabyles tout le long de cette période (avril 2001-décembre 2004). »
Le MAK-France appelle à « un devoir de mémoire pour rendre hommage » à toutes ces victimes, en venant « nombreux » sur le Parvis des Droits de l’Homme le 17 avril à partir de 17h au Trocadéro et en allumant une bougie.
Parallèlement, la fédération du MAK en France a appelé à un rassemblement de protestation devant l’Ambassade d’Algérie à Paris, 50 rue de Lisbonne 75008 le 20 avril à 17h.
En Kabylie, le MAK a appelé à des marches populaires dans les trois villes principales de Tizi-Ouzou, Tuviret et Vgayet le 20 avril à 10h afin d'exiger un référendum d’autodétermination en faveur d'une autonomie régionale.
uz
SIWEL 13 1600 AVR 11
Il a souligné que « ces événements ont duré pas moins de trois ans pendant lesquels, la Kabylie organisait inlassablement des marches, des sit-in, des rassemblements, des grèves générales ou locales. »
« Pendant plus de 800 jours, le peuple kabyle, tenace et courageux, tentait d’imposer au régime algérien, son droit à la vie et à sa reconnaissance. Mais le pouvoir algérien, ne connaissant d’autre langage que celui de la violence et de la répression, n’a pas hésité à abattre pas moins de 126 autres Kabyles tout le long de cette période (avril 2001-décembre 2004). »
Le MAK-France appelle à « un devoir de mémoire pour rendre hommage » à toutes ces victimes, en venant « nombreux » sur le Parvis des Droits de l’Homme le 17 avril à partir de 17h au Trocadéro et en allumant une bougie.
Parallèlement, la fédération du MAK en France a appelé à un rassemblement de protestation devant l’Ambassade d’Algérie à Paris, 50 rue de Lisbonne 75008 le 20 avril à 17h.
En Kabylie, le MAK a appelé à des marches populaires dans les trois villes principales de Tizi-Ouzou, Tuviret et Vgayet le 20 avril à 10h afin d'exiger un référendum d’autodétermination en faveur d'une autonomie régionale.
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