C'est Si El Hachimi Assad, secrétaire général, qui le déclare avec fierté. Cet inconnu au bataillon, n'a rien trouvé de mieux à faire que de faire de l'Amazighité une composante de la culture arabe.
Ci-après un extrait de l’interview de Si El Hachemi Assad publié par Le Soir du 2 avril 2015 :
« Notre présence dans l’antique Cirta est confirmée et revêt un impact hautement important puisqu'elle consiste à débattre de l'amazighité et à interroger l’histoire simultanément avec l’historien, le chercheur et l’universitaire autour de la Numidie du temps du règne de Massinissa. Notre présence se veut également une continuité du colloque que nous avions tenu à El-Khroub autour de l’«Aguellid Masensen [..]. C’est dire que la ville des Ponts se prête à merveille pour questionner davantage nos historiens autour des récits d’auteurs de l’Antiquité. Nous y mettrons ainsi le temps qu’il fauda pour en savoir un peu plus sur une épopée numidienne et nord-africaine qui reste à écrire pour les générations à venir »... sur la page mensongère d'une capitale devenue arabe par la grâce de la trahison d'une partie de ses enfants égarés dans les abîmes de l'arabo-islamisme.
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SIWEL 031811 AVR 15