Les membres du premier Gouvernement provisoire kabyle lors de son installation le 1er juin 2010 au Palais des Congrès, à Paris (PH : SIWEL)
Le communiqué signé par Makhlouf Idri en sa qualité de porte-parole de l'Anavad et transmis à Siwel a souligné qu'« après avoir consulté différentes obédiences des Amazighs libyens sur la situation qui prévaut dans leur pays », l'Anavad a décidé de reconnaître le Conseil national de transition comme autorité légitime de la Libye.
Il a exhorté celui-ci à « valoriser l’identité amazighe et d'édifier, après la chute du régime de Kadhafi, une Libye de la liberté et des autonomies régionales ».
Pour le Gouvernement provisoire kabyle, « la communauté internationale a le devoir d’agir pour arrêter la folie meurtrière de ce forcené. »
« Kadhafi espère toujours une victoire contre l’Histoire alors que celle-ci l’a déjà jeté dans ses décombres. Ni le soutien logistique algérien, ni les mercenaires auxquels il a fait appel pour exterminer les Libyens ne sont en mesure d’enrayer sa chute. Le problème essentiel est d’arrêter au plus vite les exactions et les crimes contre l’humanité auxquels il se livre contre les populations. », a indiqué l'Anavad.
Ce pas franchi par les responsables kabyles en exil constitue la deuxième reconnaissance officielle après celle du gouvernement français intervenue hier jeudi.
ysn
SIWEL 111740 MAR 11
Il a exhorté celui-ci à « valoriser l’identité amazighe et d'édifier, après la chute du régime de Kadhafi, une Libye de la liberté et des autonomies régionales ».
Pour le Gouvernement provisoire kabyle, « la communauté internationale a le devoir d’agir pour arrêter la folie meurtrière de ce forcené. »
« Kadhafi espère toujours une victoire contre l’Histoire alors que celle-ci l’a déjà jeté dans ses décombres. Ni le soutien logistique algérien, ni les mercenaires auxquels il a fait appel pour exterminer les Libyens ne sont en mesure d’enrayer sa chute. Le problème essentiel est d’arrêter au plus vite les exactions et les crimes contre l’humanité auxquels il se livre contre les populations. », a indiqué l'Anavad.
Ce pas franchi par les responsables kabyles en exil constitue la deuxième reconnaissance officielle après celle du gouvernement français intervenue hier jeudi.
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