Ferhat Mehenni, président du Gouvernement provisoire kabyle (Photo Y. O — SIWEL)
Le GPK que préside Ferhat Mehenni a indiqué que « les avancées démocratiques qu’elle (la nouvelle constitution) consacre à travers un Etat respectant les droits de l’homme et les règles de la démocratie parlementaire, réhabilitant l’identité amazighe et instaurant des autonomies régionales sont très prometteuses quant à l’influence qu’elles vont avoir sur ses voisins, notamment l’Algérie ».
En Algérie, soutien le GPK, « la confusion politique est totale ». « Après avoir installé une commission de consultation en vue d’une réforme constitutionnelle, voici que le Conseil National Economique et Social est chargé de la même mission. Les consultations sélectives sont bâclées, mais surtout boudées en raison du peu de crédit que les organisations et les personnalités politiques algériennes lui accordent », a affirmé le communiqué signé par le porte-parole Makhlouf Idri.
Le conseil des ministres du GPK a souligné qu’en Kabylie, « l’insécurité est toujours entretenue comme châtiment contre un peuple qui ne se reconnait plus dans le régime algérien ».
« Un jeune est toujours porté disparu après son enlèvement il y a plus d’un mois. Le pouvoir se sert des kidnappings contre les entrepreneurs pour les pousser à quitter la Kabylie qu’il veut affamer et dévaster. » a dénoncé le GPK.
Il a appelé à la vigilance pour « mettre en échec les incendies criminels qu’allument les militaires ou leurs supplétifs chaque été en Kabylie ».
uz
SIWEL 231947 JUIN 11
En Algérie, soutien le GPK, « la confusion politique est totale ». « Après avoir installé une commission de consultation en vue d’une réforme constitutionnelle, voici que le Conseil National Economique et Social est chargé de la même mission. Les consultations sélectives sont bâclées, mais surtout boudées en raison du peu de crédit que les organisations et les personnalités politiques algériennes lui accordent », a affirmé le communiqué signé par le porte-parole Makhlouf Idri.
Le conseil des ministres du GPK a souligné qu’en Kabylie, « l’insécurité est toujours entretenue comme châtiment contre un peuple qui ne se reconnait plus dans le régime algérien ».
« Un jeune est toujours porté disparu après son enlèvement il y a plus d’un mois. Le pouvoir se sert des kidnappings contre les entrepreneurs pour les pousser à quitter la Kabylie qu’il veut affamer et dévaster. » a dénoncé le GPK.
Il a appelé à la vigilance pour « mettre en échec les incendies criminels qu’allument les militaires ou leurs supplétifs chaque été en Kabylie ».
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