AFRANIMAN I TMURT N IQVAYLIYEN
MOUVEMENT POUR L’AUTODETERMINATION DE LA KABYLIE
Conseil régional Boumerdes-Tizi Ouzou
Communiqué
MOUVEMENT POUR L’AUTODETERMINATION DE LA KABYLIE
Conseil régional Boumerdes-Tizi Ouzou
Communiqué
Le vendredi 11 novembre 2016, une bande de voyous conduite par le SG de la Zaouiya du village de Timizar, militant du FLN et indicateur notoire, agissant pour le compte des autorités coloniales algériennes, le sieur Yacine Bouache, a violemment agressé la délégation du MAK conduite par son Président, Mas. Bouaziz Ait Chebib, alors que celui-ci s'apprêtait à rejoindre le lieu du meeting du MAK, prévu dans ce village.
C’est grâce aux militants qui l'accompagnaient, et qui l'ont courageusement protégé, que le président du MAK a eu la vie sauve, accusant de plein fouet un raid organisé et parfaitement encadré par les forces de la gendarmerie algérienne qui ont encerclé le village, bouclant toutes les issues. Ripostant intelligemment à l’agression barbare dont ils ont été victimes, les militants ont évité de justesse un lynchage minutieusement prémédité et un de nos militants, en l’occurrence Menad Ait Gherbi qui a héroïquement défendu les siens, a pris plusieurs coups d’une violence extrême avant d’être évacué d'urgence à la clinique d'At Wagnun.
Le pouvoir algérien et ses valets locaux, dont le vice-président de l’APW de Tizi-Ouzou, Kamel Ouguemat, sont donc passés à une vitesse supérieure, toujours plus violente à l'égard des militants et des cadres du MAK. C’est un signe de faiblesse face à la crédibilité de notre Mouvement et de notre projet de libération. Ces traîtres, mercenaires à la solde de l’État colonial algérien, sont d’ores et déjà condamnés par l'Histoire.
Tous les peuples en quête de liberté ont eu des traites qui se sont dressés contre leur peuple. Ils ne sont rien d’autre que des mercenaires et des opportunistes qui croient jouir des privilèges du pouvoir dominant, alors que, victimes de leur ignorance et de leur cupidité, ils ne ramassent que les misérables miettes que leurs maîtres veulent bien leur concéder. Ces petits Bachaghas locaux, dépourvus d'honneur et de dignité, n'ont donc rien inventé. Ils ont toujours existé en Kabylie, comme chez tous les peuples qui ont eu à lutter pour leur libération.
Le Conseil régional Boumerdes-Tizi Ouzou condamne avec la plus grande fermeté la lâcheté sournoise du guet-apens tendu par des renégats et rend un vibrant hommage aux militants du village de Timizar et à ceux qui accompagnaient le président pour avoir fait échouer cette embuscade. Il annonce que désormais, des mesures de sécurité seront prises pour la protection de nos cadres et militants face à la menace du pouvoir algérien et de ses relais locaux.
Que le régime algérien sache que notre détermination est totale pour rendre la liberté à notre peuple et nul ne pourra arrêter la marche de l'Histoire.
Le Conseil régional dénonce par ailleurs le silence des pseudos organisations des droits de l'homme algériennes qui n'ont désormais aucune crédibilité et prouvent que leur existence ne sert qu'à profiter des subventions internationales et à étendre les tentacules islamistes. Il met les partis politiques kabyles agréés par le régime algérien (RCD et FFS) devant leur responsabilité face à leur silence devant toutes ces campagnes de violences et d'intimidations dont sont victimes les militant(e)s et les cadres du MAK : Un silence qui ne peut être interprété autrement que comme une caution de la violence étatique, voire même comme complicité avec le pouvoir algérien dans sa volonté d'écraser les souverainistes du MAK, patriotes d’une Kabylie libre et souveraine.
Tizi Ouzou, le 15 novembre 2016
Ould Abdeslam Abdelkader, Président
SIWEL 151116 NOV 16
C’est grâce aux militants qui l'accompagnaient, et qui l'ont courageusement protégé, que le président du MAK a eu la vie sauve, accusant de plein fouet un raid organisé et parfaitement encadré par les forces de la gendarmerie algérienne qui ont encerclé le village, bouclant toutes les issues. Ripostant intelligemment à l’agression barbare dont ils ont été victimes, les militants ont évité de justesse un lynchage minutieusement prémédité et un de nos militants, en l’occurrence Menad Ait Gherbi qui a héroïquement défendu les siens, a pris plusieurs coups d’une violence extrême avant d’être évacué d'urgence à la clinique d'At Wagnun.
Le pouvoir algérien et ses valets locaux, dont le vice-président de l’APW de Tizi-Ouzou, Kamel Ouguemat, sont donc passés à une vitesse supérieure, toujours plus violente à l'égard des militants et des cadres du MAK. C’est un signe de faiblesse face à la crédibilité de notre Mouvement et de notre projet de libération. Ces traîtres, mercenaires à la solde de l’État colonial algérien, sont d’ores et déjà condamnés par l'Histoire.
Tous les peuples en quête de liberté ont eu des traites qui se sont dressés contre leur peuple. Ils ne sont rien d’autre que des mercenaires et des opportunistes qui croient jouir des privilèges du pouvoir dominant, alors que, victimes de leur ignorance et de leur cupidité, ils ne ramassent que les misérables miettes que leurs maîtres veulent bien leur concéder. Ces petits Bachaghas locaux, dépourvus d'honneur et de dignité, n'ont donc rien inventé. Ils ont toujours existé en Kabylie, comme chez tous les peuples qui ont eu à lutter pour leur libération.
Le Conseil régional Boumerdes-Tizi Ouzou condamne avec la plus grande fermeté la lâcheté sournoise du guet-apens tendu par des renégats et rend un vibrant hommage aux militants du village de Timizar et à ceux qui accompagnaient le président pour avoir fait échouer cette embuscade. Il annonce que désormais, des mesures de sécurité seront prises pour la protection de nos cadres et militants face à la menace du pouvoir algérien et de ses relais locaux.
Que le régime algérien sache que notre détermination est totale pour rendre la liberté à notre peuple et nul ne pourra arrêter la marche de l'Histoire.
Le Conseil régional dénonce par ailleurs le silence des pseudos organisations des droits de l'homme algériennes qui n'ont désormais aucune crédibilité et prouvent que leur existence ne sert qu'à profiter des subventions internationales et à étendre les tentacules islamistes. Il met les partis politiques kabyles agréés par le régime algérien (RCD et FFS) devant leur responsabilité face à leur silence devant toutes ces campagnes de violences et d'intimidations dont sont victimes les militant(e)s et les cadres du MAK : Un silence qui ne peut être interprété autrement que comme une caution de la violence étatique, voire même comme complicité avec le pouvoir algérien dans sa volonté d'écraser les souverainistes du MAK, patriotes d’une Kabylie libre et souveraine.
Tizi Ouzou, le 15 novembre 2016
Ould Abdeslam Abdelkader, Président
SIWEL 151116 NOV 16