Mme Kellie Shandra Ognimba, de la Commission sur le droit à l’éducation du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies (PH/DR)
Les membres du CMA en Algérie ont exposé la problématique de la question amazighe relative aux préjudices dont font l’objet les enfants amazighs par l’Etat algérien à travers sa politique d’éducation nationale pour beaucoup peu reluisante et d’autres totalement discriminatoire eu égard aux entraves sournoises et manifestes de diverses natures opposées sciemment par les services du ministère de l’Education nationale algérienne à l’encontre des enfants amazighs durant leurs cursus scolaires dans les programmes de tous les paliers éducatifs depuis les classes du préscolaire jusqu’au Baccalauréat.
Les membres du CMA en Algérie ont apporté arguments à l’appui toutes les preuves tangibles d’obstructionnisme et sabordages de tous genres contre le développement et l’enseignement de la culture et de la langue amazighes dans tous les domaines de la vie en Algérie et ce, par les fonctionnaires de l’Etat algérien en poste dans les responsabilités publiques en raison des considérations politiques aux antipodes des aspirations des Hommes libres et des desseins d’ordre idéologique arabo-islamiste du gouvernement algérien, qui s’inscrit dans le négationnisme de toute l’histoire des Amazighs d’avant l’avènement des Arabes en Afrique du Nord.
Les Congressistes amazighs en Algérie du CMA ont en outre abordé les multiples aspects de la question amazighe dans toutes ses dimensions dans le système d’enseignement algérien pour le Rapporteur de l’ONU qui s’est intéressé au moindre détail souligné par les responsables du CMA afin de dresser un Rapport documenté et exhaustif aux services du Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU siégeant à Genève en Suisse. Ce dernier examinera les insuffisances de réalisation de l’Etat algérien sur cette question amazighe en Algérie, dans sa prochaine session du printemps de l’année en cours, sur la base du Rapport de Mr Kellie-Shandra Ognimba.
Tous les droits des enfants amazighs ont été passé aux cribles fins à l’aune des libertés inscrites dans les conventions et les traités onusiens dont les enfants amazighs n’ont pas eu accès en raison des tracasseries et autres obstacles bureaucratiques des institutions algériennes impliquées dans le processus de socialisation des Amazighs dans le cadre du système éducatif en Algérie.
Il est à noter que le Rapporteur de l’ONU avait rencontré des Membres du Gouvernement algérien sur la question amazighe pour les auditionner sur les mesures législatives, réglementaires et administratives prises dans leurs départements ministériels respectifs en applications des dernières recommandations émises par les Comités d’Experts des Traités de l’ONU ratifiés par l’Etat algérien par-devant la Communauté internationale dépositaire des droits universels inaliénables, imprescriptibles et immuables de tous les Peuples et de tous les Humains dans le Monde.
cbd/wbw
SIWEL 012305 FEV 15
Les membres du CMA en Algérie ont apporté arguments à l’appui toutes les preuves tangibles d’obstructionnisme et sabordages de tous genres contre le développement et l’enseignement de la culture et de la langue amazighes dans tous les domaines de la vie en Algérie et ce, par les fonctionnaires de l’Etat algérien en poste dans les responsabilités publiques en raison des considérations politiques aux antipodes des aspirations des Hommes libres et des desseins d’ordre idéologique arabo-islamiste du gouvernement algérien, qui s’inscrit dans le négationnisme de toute l’histoire des Amazighs d’avant l’avènement des Arabes en Afrique du Nord.
Les Congressistes amazighs en Algérie du CMA ont en outre abordé les multiples aspects de la question amazighe dans toutes ses dimensions dans le système d’enseignement algérien pour le Rapporteur de l’ONU qui s’est intéressé au moindre détail souligné par les responsables du CMA afin de dresser un Rapport documenté et exhaustif aux services du Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU siégeant à Genève en Suisse. Ce dernier examinera les insuffisances de réalisation de l’Etat algérien sur cette question amazighe en Algérie, dans sa prochaine session du printemps de l’année en cours, sur la base du Rapport de Mr Kellie-Shandra Ognimba.
Tous les droits des enfants amazighs ont été passé aux cribles fins à l’aune des libertés inscrites dans les conventions et les traités onusiens dont les enfants amazighs n’ont pas eu accès en raison des tracasseries et autres obstacles bureaucratiques des institutions algériennes impliquées dans le processus de socialisation des Amazighs dans le cadre du système éducatif en Algérie.
Il est à noter que le Rapporteur de l’ONU avait rencontré des Membres du Gouvernement algérien sur la question amazighe pour les auditionner sur les mesures législatives, réglementaires et administratives prises dans leurs départements ministériels respectifs en applications des dernières recommandations émises par les Comités d’Experts des Traités de l’ONU ratifiés par l’Etat algérien par-devant la Communauté internationale dépositaire des droits universels inaliénables, imprescriptibles et immuables de tous les Peuples et de tous les Humains dans le Monde.
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