Le bachagha Ould Ali Lhadi comptait sans doute se faufiler vers la tombe de Matoub Lounès pour aller soi-disant lui rendre un hommage aussi hypocrite qu'indigne. Le Bachagha qui sert, de la manière la plus indigne qui soit, le régime raciste et criminel de Bouteflika, celui qui a commandité l'assassinat du rebelle et qui a amnistié la secte des assassins du Rebelle après leur ignoble forfait.
Mais dès qu'il a mis le nez hors de la maison Matoub, dont il n'aurait jamais dû fouler le sol, un chapelet d'injures le traitant de harki (NDLR: traître ou collabo) lui sont tombés dessus " Ould Ali Aherki !" lui hurlaient les jeunes kabyles, dont la plupart étaient des militants du MAK qui lui assénaient également "Kabylie indépendante" !
Les Militants du MAK étaient déjà à Tawrirt Moussa tôt le matin. Quand ils sont arrivé, ils ont trouvé que le drapeau algérien avait été hissé au dessus de la tombe du rebelle et avaient trouvé cet emblème indigne de flotter sur la tête du rebelle, d'autant plus que, pas plus tard que la veille, les autorités algérienne avaient refusé qu'un hommage lui soit rendu à Alger.
La présence du Bachagha Ould Ali El hadi a soulevé le courroux des jeunes kabyles qui n'ont pas supporté ce nouvel affront à la mémoire du rebelle. Dès que la nouvelle de la présence du renégat fut connue, les jeunes kabyles se sont postés à l'entrée et l'attendaient de pied ferme, guettant sa sortie pour lui exprimer tout le dégoût qu'inspire sa présence sur les lieux de la dépouille que ses maîtres d'Alger ont fait assassiner. Mais comme il n'est pas dans la nature des collabos d'avoir une quelconque dignité, le bachagha, a quand même tenté de remettre le drapeau algérien au dessus de la tombe du rebelle. Il a envoyé un jeune homme parlementer avec les jeunes kabyles qui veillaient sur la tombe du rebelle pour leur demander de retirer le drapeau amazigh et remettre le drapeau algérien, ce qui lui a été catégoriquement refusé par les jeunes rebelles kabyles.
Au moment où nous écrivons ces lignes, les jeunes kabyles guettent la sortie du Bachagha Ould Ali Lhadi qui s'est retrouvé séquestré dans la maison de Matoub Lounès, à se faire traiter de harki par le peuple kabyle que le regretté Lounès aimait tant et qui est bien le seul à le lui rendre ! OUI Lounès: « seul le peuple comme un seul homme a osé défier la peur » !
Repose en paix, ton peuple veille sur toi !
mel,
SIWEL 251422 JUIN 14
Mais dès qu'il a mis le nez hors de la maison Matoub, dont il n'aurait jamais dû fouler le sol, un chapelet d'injures le traitant de harki (NDLR: traître ou collabo) lui sont tombés dessus " Ould Ali Aherki !" lui hurlaient les jeunes kabyles, dont la plupart étaient des militants du MAK qui lui assénaient également "Kabylie indépendante" !
Les Militants du MAK étaient déjà à Tawrirt Moussa tôt le matin. Quand ils sont arrivé, ils ont trouvé que le drapeau algérien avait été hissé au dessus de la tombe du rebelle et avaient trouvé cet emblème indigne de flotter sur la tête du rebelle, d'autant plus que, pas plus tard que la veille, les autorités algérienne avaient refusé qu'un hommage lui soit rendu à Alger.
La présence du Bachagha Ould Ali El hadi a soulevé le courroux des jeunes kabyles qui n'ont pas supporté ce nouvel affront à la mémoire du rebelle. Dès que la nouvelle de la présence du renégat fut connue, les jeunes kabyles se sont postés à l'entrée et l'attendaient de pied ferme, guettant sa sortie pour lui exprimer tout le dégoût qu'inspire sa présence sur les lieux de la dépouille que ses maîtres d'Alger ont fait assassiner. Mais comme il n'est pas dans la nature des collabos d'avoir une quelconque dignité, le bachagha, a quand même tenté de remettre le drapeau algérien au dessus de la tombe du rebelle. Il a envoyé un jeune homme parlementer avec les jeunes kabyles qui veillaient sur la tombe du rebelle pour leur demander de retirer le drapeau amazigh et remettre le drapeau algérien, ce qui lui a été catégoriquement refusé par les jeunes rebelles kabyles.
Au moment où nous écrivons ces lignes, les jeunes kabyles guettent la sortie du Bachagha Ould Ali Lhadi qui s'est retrouvé séquestré dans la maison de Matoub Lounès, à se faire traiter de harki par le peuple kabyle que le regretté Lounès aimait tant et qui est bien le seul à le lui rendre ! OUI Lounès: « seul le peuple comme un seul homme a osé défier la peur » !
Repose en paix, ton peuple veille sur toi !
mel,
SIWEL 251422 JUIN 14