Nna Wiza, la mère du leader kabyle, Ferhat Mehenni, ici avec un militant du Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie.
Nna Wiza, la maman du leader kabyle, Ferhat Mehenni, affirme qu’elle a effectivement eu une discussion-éclair avec une mercenaire de ce journal, qui a été par ailleurs invité par les habitants du village de Ferhat Mehenni, au fait des intentions de dénigrement de la journaleuse, à quitter les lieux.
Mais parce qu’élevée dans la tradition kabyle qui respecte les étrangers qui demandent à être reçus, la "journaliste n'a pas été chassée du domicile de la maman du président du GPK après s'y être introduite sans y avoir été invitéé...elle avait trouvé la porte ouverte et s'est présentée face à Na Wiza en tant qu’ « amie » du président de l’Anavad et sympathisante du combat pour l’autonomie de la Kabylie.
La discussion s’est limitée aux douleurs que la famille de Ferhat Mehenni a endurées durant la colonisation française et les affres de la répression que le pouvoir raciste d’Alger a fait subir aux militants de l’identité amazighe et de la démocratie durant des décennies. A aucun moment la maman de Ferhat Mehenni n’a tenu de tels propos au sujet de son fils ou abordé des sujets politiques liés à l’actualité en Kabylie:
« Je ne m’y connais pas en politique, ce n’est pas mon domaine ; j’ai juste dit à cette personne que mon fils a été marqué par la perte de son père durant la guerre contre le colonialisme français et l'assassinat, il n' y a pas longtemps, de son fils Ameziane et j'ai exprimé ma tristesse quant aux diverses exactions et violences qu’il subit depuis des années de la part du pouvoir ; j’aurais aimé que mon fils vive en paix, heureux, loin de la pression et de la répression , c’est tout», déclare à Siwel la maman de Ferhat Mehenni âgée de 83 ans.
« Je ne pourrai jamais renier mon fils. Le combat qu'il mène pour son peuple lui a été très dur ; je ne peux que le soutenir et lui exprimer toute mon affection en lui disant: mon fils, tu es ma plus grande fierté. Que Dieu t'aide dans chaque pas que tu entreprends dans ta vie et ton combat.», ajoute-elle.
Tenter de manipuler une vieille femme pour discréditer un opposant politique, Ferhat Mehenni, qui fait trembler le pouvoir algérien depuis les années 70, est un acte infâme que seul Ennahar, un pseudo journal, organe du DRS algérien, soit en mesure d'orchestrer.
Selon le Journal Tamurt, cette "journaliste" qui n'a pas hésité à tromper une veille dame de 83 ans serait de Tizi-Rached, elle habiterait un quartier de Tizi-Ouzou et servirait régulièrement la presse arabo-islamiste avec des articles orduriers contre son propre peuple.
aab
SIWEL 210844 AVR 13
Mais parce qu’élevée dans la tradition kabyle qui respecte les étrangers qui demandent à être reçus, la "journaliste n'a pas été chassée du domicile de la maman du président du GPK après s'y être introduite sans y avoir été invitéé...elle avait trouvé la porte ouverte et s'est présentée face à Na Wiza en tant qu’ « amie » du président de l’Anavad et sympathisante du combat pour l’autonomie de la Kabylie.
La discussion s’est limitée aux douleurs que la famille de Ferhat Mehenni a endurées durant la colonisation française et les affres de la répression que le pouvoir raciste d’Alger a fait subir aux militants de l’identité amazighe et de la démocratie durant des décennies. A aucun moment la maman de Ferhat Mehenni n’a tenu de tels propos au sujet de son fils ou abordé des sujets politiques liés à l’actualité en Kabylie:
« Je ne m’y connais pas en politique, ce n’est pas mon domaine ; j’ai juste dit à cette personne que mon fils a été marqué par la perte de son père durant la guerre contre le colonialisme français et l'assassinat, il n' y a pas longtemps, de son fils Ameziane et j'ai exprimé ma tristesse quant aux diverses exactions et violences qu’il subit depuis des années de la part du pouvoir ; j’aurais aimé que mon fils vive en paix, heureux, loin de la pression et de la répression , c’est tout», déclare à Siwel la maman de Ferhat Mehenni âgée de 83 ans.
« Je ne pourrai jamais renier mon fils. Le combat qu'il mène pour son peuple lui a été très dur ; je ne peux que le soutenir et lui exprimer toute mon affection en lui disant: mon fils, tu es ma plus grande fierté. Que Dieu t'aide dans chaque pas que tu entreprends dans ta vie et ton combat.», ajoute-elle.
Tenter de manipuler une vieille femme pour discréditer un opposant politique, Ferhat Mehenni, qui fait trembler le pouvoir algérien depuis les années 70, est un acte infâme que seul Ennahar, un pseudo journal, organe du DRS algérien, soit en mesure d'orchestrer.
Selon le Journal Tamurt, cette "journaliste" qui n'a pas hésité à tromper une veille dame de 83 ans serait de Tizi-Rached, elle habiterait un quartier de Tizi-Ouzou et servirait régulièrement la presse arabo-islamiste avec des articles orduriers contre son propre peuple.
aab
SIWEL 210844 AVR 13