Issad Rebrab, l'homme d'affaire kabyle est dans le collimateur de la mafia algérienne ( PH/DR) ,
C'est donc de la bouche d'un apparatchik du système mafieux algérien, de surcroît compromis dans l'affaire khalifa bank, que sortent ces accusation de transferts illicites de devises, d'escroquerie et d'intelligence avec la...France !
Le ministre algérien accuse Issad Rebrab d'avoir "transféré illégalement des devises à l’étranger pour acheter l’usine française de Brandt", tout comme il l'accuse d'avoir "voulu offrir du matériel neuf aux Français et se débarrasser du matériel usé dans mon pays, l’Algérie" dit-il !... dans son pays... mais alors il reste à déterminer quel est le pays d'Issad Rebrab ?
Rappelons à toutes fins utiles qu'Issad Rebrab, dont la renommée est grande en Kabylie, n'a jamais accepté de soutenir publiquement Bouteflika et qu'à cette occasion, un autre homme d'affaire "kabyle" a été mis en selle, en l'occurrence Ali Heddad dont les accointances avec la mafia algérienne et les liens étroits avec Said Bouteflika ne sont un secret pour personne.
Rappelons qu'Issad Rebrab n'en est pas à ses premières déboires avec ce que l'on appelle abusivement l'Etat algérien. Plusieurs projets industriels (pétrochimie, construction et gestion portuaire etc..) ont été tout bonnement bloqués par l'Etat algérien sans aucune raison valable, excepté celle de favoriser les fabuleux contrats étrangers et leurs pots-de-vin.
Rappelons également que c'est le groupe Cevital d'Issad rebrab qui est à l’origine du scandale fiscal qui éclabousse les importateurs automobiles ... Alors la mafia algérienne s'attaque aujourd'hui frontalement à Rebrab, il n'est plus question de seulement lui bloquer ses projets, il est question désormais de lui "faire la peau" à ce kabyle qui ose réussir sans avoir à leur en être redevable...
Rappelons que le ministre algérien Bouchouareb a gardé un silence religieux sur les nombreux scandales financiers qui ont touché la nomenclature algérienne le mettant lui-même en cause, tout comme les Saadani, Rahmani, Khalifa, Chakib Khelil etc, etc, etc...Et voilà que le bougre sort de son mutisme pour aller s'attaquer à l'homme d'affaire kabyle et l'accuser d'intelligence économique avec la France !
La vérité est que pour l'Etat algérien, Issad Rebrab est une cible parce que l'Etat algérien s'acharne à démolir tout ce qui est kabyle et comme ils ne peuvent pas le limoger, alors ils l'affublent de leurs propres tares pour essayer de le démolir.
Car en terme de transactions douteuses entre Paris et Alger, le fameux livre " Paris-Alger" en dit long sur les dirigeants algériens et leur irrésistible attirance pour les plus beaux quartiers parisiens, notamment dans le chapitre «Alger-sur-Seine»,où c'est le nom du ministre algérien Abdessalem Bouchouareb qui apparaît en tête de liste dans l'acquisition de biens à Pris et non celui de l'homme d'affaire kabyle, Issad Rebrab, dont le nom n’apparaît nulle part...
L'Etat algérien veut faire d'Issad Rebrab son mouton de l'Aid. Il ne le sera pas. Issad Rebrab défie d'or et déjà le ministre algérien d'une confrontation directe et publique et s'interroge dans les colonnes du journal Liberté "pourquoi le ministre n’a-t-il pas engagé une procédure devant les tribunaux ?"
zp,
SIWEL 281904 SEP 15
Le ministre algérien accuse Issad Rebrab d'avoir "transféré illégalement des devises à l’étranger pour acheter l’usine française de Brandt", tout comme il l'accuse d'avoir "voulu offrir du matériel neuf aux Français et se débarrasser du matériel usé dans mon pays, l’Algérie" dit-il !... dans son pays... mais alors il reste à déterminer quel est le pays d'Issad Rebrab ?
Rappelons à toutes fins utiles qu'Issad Rebrab, dont la renommée est grande en Kabylie, n'a jamais accepté de soutenir publiquement Bouteflika et qu'à cette occasion, un autre homme d'affaire "kabyle" a été mis en selle, en l'occurrence Ali Heddad dont les accointances avec la mafia algérienne et les liens étroits avec Said Bouteflika ne sont un secret pour personne.
Rappelons qu'Issad Rebrab n'en est pas à ses premières déboires avec ce que l'on appelle abusivement l'Etat algérien. Plusieurs projets industriels (pétrochimie, construction et gestion portuaire etc..) ont été tout bonnement bloqués par l'Etat algérien sans aucune raison valable, excepté celle de favoriser les fabuleux contrats étrangers et leurs pots-de-vin.
Rappelons également que c'est le groupe Cevital d'Issad rebrab qui est à l’origine du scandale fiscal qui éclabousse les importateurs automobiles ... Alors la mafia algérienne s'attaque aujourd'hui frontalement à Rebrab, il n'est plus question de seulement lui bloquer ses projets, il est question désormais de lui "faire la peau" à ce kabyle qui ose réussir sans avoir à leur en être redevable...
Rappelons que le ministre algérien Bouchouareb a gardé un silence religieux sur les nombreux scandales financiers qui ont touché la nomenclature algérienne le mettant lui-même en cause, tout comme les Saadani, Rahmani, Khalifa, Chakib Khelil etc, etc, etc...Et voilà que le bougre sort de son mutisme pour aller s'attaquer à l'homme d'affaire kabyle et l'accuser d'intelligence économique avec la France !
La vérité est que pour l'Etat algérien, Issad Rebrab est une cible parce que l'Etat algérien s'acharne à démolir tout ce qui est kabyle et comme ils ne peuvent pas le limoger, alors ils l'affublent de leurs propres tares pour essayer de le démolir.
Car en terme de transactions douteuses entre Paris et Alger, le fameux livre " Paris-Alger" en dit long sur les dirigeants algériens et leur irrésistible attirance pour les plus beaux quartiers parisiens, notamment dans le chapitre «Alger-sur-Seine»,où c'est le nom du ministre algérien Abdessalem Bouchouareb qui apparaît en tête de liste dans l'acquisition de biens à Pris et non celui de l'homme d'affaire kabyle, Issad Rebrab, dont le nom n’apparaît nulle part...
L'Etat algérien veut faire d'Issad Rebrab son mouton de l'Aid. Il ne le sera pas. Issad Rebrab défie d'or et déjà le ministre algérien d'une confrontation directe et publique et s'interroge dans les colonnes du journal Liberté "pourquoi le ministre n’a-t-il pas engagé une procédure devant les tribunaux ?"
zp,
SIWEL 281904 SEP 15