Couverture du dernier album de Matoub Lounes mettant dos à dos les islamistes et le régime dans une parodie prémonitoire: "dwas a ncerreg tamurt". (PH/DR)
Le plus simple pour cette chaîne de propagande islamiste aurait été de publier les noms des 250 000 victimes de cette secte idéologique qui a réussi l'exploit de prendre Dieu en otage en lui faisant assumer toutes les horreurs de leur secte criminelle.
Cette insulte posthume envers Matoub Lounes prouve une fois de plus que même mort, Matoub Lounes dérange encore ses assassins installés aussi bien dans les maquis terroristes que dans les plus hautes sphères du pouvoir raciste algérien.
Cette insulte posthume envers Matoub Lounes prouve une fois de plus que même mort, Matoub Lounes dérange encore ses assassins installés aussi bien dans les maquis terroristes que dans les plus hautes sphères du pouvoir raciste algérien.
Le tournage du reportage sur les islamistes, aujourd'hui dans les rues de Tizi-Ouzou. (PH/DR)
Des citoyens de Tizi-ouzou ont tenu à faire connaitre cette énième provocation envers le peuple kabyle qui en a marre de remplir les cimetières et de commémorer les assassinats des siens.
Dans le Figaro du 29 juin 1998, soit 4 jours après l'assassinat de Matoub Lounes, C. Lambroschini parlait de la FRACTURE : Trente ans après l'indépendance, l'Algérie n'existe toujours pas. Les assassins du chanteur ont frappé au cœur des contradictions du pays. Champion de l'identité berbère, Matoub Lounès symbolisait à lui tout seul la principale ligne de fracture. Celle qui sépare les Kabyles, ce peuple berbère autochtone, des Arabes qui vinrent conquérir le Maghreb. Aujourd'hui, les généraux d'Alger, moins soucieux de servir le pays que préserver leur rente pétrolière, ont choisi d'appliquer le programme du FIS. Incapable de vaincre les islamistes, l'armée espère les séduire....
Depuis, les fractures se sont multipliées, il y a eu le Printemps Noir et ses 128 martyrs, le terrorisme, le banditisme, les feux de forêts, le démantèlement de l'économie kabyle, et les généraux ont livré la Kabylie aux criminels pseudo-repentis, aux salafistes, aux arabistes. Ils l'ont livré pieds et points liés sous étroite surveillance militaire en charge de "mater" ce peuple rebelle s'il venait à refuser son assassinat programmé
bl/wbw
SIWEL 251318 JUIN 13
Dans le Figaro du 29 juin 1998, soit 4 jours après l'assassinat de Matoub Lounes, C. Lambroschini parlait de la FRACTURE : Trente ans après l'indépendance, l'Algérie n'existe toujours pas. Les assassins du chanteur ont frappé au cœur des contradictions du pays. Champion de l'identité berbère, Matoub Lounès symbolisait à lui tout seul la principale ligne de fracture. Celle qui sépare les Kabyles, ce peuple berbère autochtone, des Arabes qui vinrent conquérir le Maghreb. Aujourd'hui, les généraux d'Alger, moins soucieux de servir le pays que préserver leur rente pétrolière, ont choisi d'appliquer le programme du FIS. Incapable de vaincre les islamistes, l'armée espère les séduire....
Depuis, les fractures se sont multipliées, il y a eu le Printemps Noir et ses 128 martyrs, le terrorisme, le banditisme, les feux de forêts, le démantèlement de l'économie kabyle, et les généraux ont livré la Kabylie aux criminels pseudo-repentis, aux salafistes, aux arabistes. Ils l'ont livré pieds et points liés sous étroite surveillance militaire en charge de "mater" ce peuple rebelle s'il venait à refuser son assassinat programmé
bl/wbw
SIWEL 251318 JUIN 13