Cette année, les officiels et leurs relais locaux n’ont pas jugé utile de s’incliner à la mémoire du défunt puisque toutes leurs tentatives de récupérer culte ont été vaines. Donc pas une présence de ces officiels ou de leurs liges locaux n’a été constatée au cimetière de Koukou. C’est pourquoi aussi, la cérémonie de recueillement a été marquée par le sceau de l’authenticité. Cette dite cérémonie a été marquée par l’observation d’une minute de silence à la mémoire du défunt, de dépôts de gerbes de fleurs et de prises de parole. En ce qui concerne le MAK, sa délégation, à sa tête, Bouaziz Aït-Chebib, a remis la gerbe de fleurs aux mains de la veuve du disparu, Mme veuve Samia Ould-Amara, et de sa mère, lesquelles l’ont déposé ensuite sur la tombe du cher époux et fils.
Concernant la prise de parole, Bouaziz Aït-Chebib, Mme veuve Samia Ould-Amara, Abdenour Ouamara, le président de l’association culturelle « KOUKOU », Hayet Bensalem (enseignante de Tamazight et ancienne collègue de Nour), Abdenour Oumara ainsi que plusieurs amis du défunt se sont succédés pour souligner l’engagement sans faille de feu Nour Ould-Amara pour la Kabylie à travers son militantisme en faveur de la promotion et le développement de notre langue et notre culture.
Le président du MAK a rappelé à l’assistance la véritable dimension de feu Nour Ould-Amara. Il a mis en lumière les travaux scientifiques que porta le disparu pour la langue et culture kabyles. « L’enseignement de tamazight à travers les supports de BRTV font référence aujourd’hui dans toute l’Afrique du Nord. Feu Nour Ould-Amara est mort à la suite d’un cancer. Il a laissé derrière lui de nombreux ouvrages finalisés mais non encore publiés sur tamazight. Son dernier geste militant pour tamazight fut un écrit sur sa page face book intitulé « tamazight, tamazight, tamazight ! ». Ce mot « tamazight » a été écrit trois fois de suite. N’est-ce pas là une preuve que feu Nour Ould-Amara a porté en lui sa langue et sa culture jusqu’à son dernier souffle ? ».
Le témoignage de Bouaziz Aît-Chebib n’a pas laissé indifférente la famille du défunt les présents qui ont tenu à manifester leur gratitude et reconnaissance à l’endroit du MAK.
Mme veuve Samia Ould-Amara, a encore rappelé le parcours militant de l’homme qui, durant des années, a réussi, à travers ses cours de tamazight, à faire adhérer à BRTV des millions de téléspectateurs toute Tamazgha.
Il y a de lieu de noter aussi que la cérémonie de recueillement a été marquée par l’écoute d’une chanson enregistrée en France par plus d’une trentaine de chanteurs et artistes dont la star Azal Belkadi. Cet artiste était présent aussi ce matin au cimetière de Koukou.
Concernant la prise de parole, Bouaziz Aït-Chebib, Mme veuve Samia Ould-Amara, Abdenour Ouamara, le président de l’association culturelle « KOUKOU », Hayet Bensalem (enseignante de Tamazight et ancienne collègue de Nour), Abdenour Oumara ainsi que plusieurs amis du défunt se sont succédés pour souligner l’engagement sans faille de feu Nour Ould-Amara pour la Kabylie à travers son militantisme en faveur de la promotion et le développement de notre langue et notre culture.
Le président du MAK a rappelé à l’assistance la véritable dimension de feu Nour Ould-Amara. Il a mis en lumière les travaux scientifiques que porta le disparu pour la langue et culture kabyles. « L’enseignement de tamazight à travers les supports de BRTV font référence aujourd’hui dans toute l’Afrique du Nord. Feu Nour Ould-Amara est mort à la suite d’un cancer. Il a laissé derrière lui de nombreux ouvrages finalisés mais non encore publiés sur tamazight. Son dernier geste militant pour tamazight fut un écrit sur sa page face book intitulé « tamazight, tamazight, tamazight ! ». Ce mot « tamazight » a été écrit trois fois de suite. N’est-ce pas là une preuve que feu Nour Ould-Amara a porté en lui sa langue et sa culture jusqu’à son dernier souffle ? ».
Le témoignage de Bouaziz Aît-Chebib n’a pas laissé indifférente la famille du défunt les présents qui ont tenu à manifester leur gratitude et reconnaissance à l’endroit du MAK.
Mme veuve Samia Ould-Amara, a encore rappelé le parcours militant de l’homme qui, durant des années, a réussi, à travers ses cours de tamazight, à faire adhérer à BRTV des millions de téléspectateurs toute Tamazgha.
Il y a de lieu de noter aussi que la cérémonie de recueillement a été marquée par l’écoute d’une chanson enregistrée en France par plus d’une trentaine de chanteurs et artistes dont la star Azal Belkadi. Cet artiste était présent aussi ce matin au cimetière de Koukou.