Unité de liège à Aokas (Photo Hafit- Siwel)
L’ex- fleuron de l'industrie locale est en déperdition permanente depuis plus de deux ans et à l’arrêt total depuis plusieurs mois déjà.
Malgré l’arrivée des pompiers, l’atelier de menuiserie a été carrément détruit y compris ses broyeurs et tout l’arsenal nécessaire pour la transformation du liège.
Les agents de la Protection civile étaient à pied d’œuvre pour essayer d’éteindre le feu afin de sauver les autres ateliers de cette usine en agonie depuis belle lurette.
Actuellement la région d’Aokas se retrouve sans aucune unité de production. Ce qui explique le grand taux de chômage que connait la capitale de l’ex-Oued Marsa, et ce chômage explique à lui seul l’immigration massive que connait cette région de la Kabylie maritime et répond aussi à la question du taux de suicides élevé à Aokas.
Ce chômage est aussi derrière la prolifération de nombreux fléaux sociaux qui furent jusque-là étrangers aux traditions kabyles.
zh
SIWEL 211611 DEC 11
Malgré l’arrivée des pompiers, l’atelier de menuiserie a été carrément détruit y compris ses broyeurs et tout l’arsenal nécessaire pour la transformation du liège.
Les agents de la Protection civile étaient à pied d’œuvre pour essayer d’éteindre le feu afin de sauver les autres ateliers de cette usine en agonie depuis belle lurette.
Actuellement la région d’Aokas se retrouve sans aucune unité de production. Ce qui explique le grand taux de chômage que connait la capitale de l’ex-Oued Marsa, et ce chômage explique à lui seul l’immigration massive que connait cette région de la Kabylie maritime et répond aussi à la question du taux de suicides élevé à Aokas.
Ce chômage est aussi derrière la prolifération de nombreux fléaux sociaux qui furent jusque-là étrangers aux traditions kabyles.
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