Selon nos informations, c’est lors de la projection du match Barcelone-Chelsea que deux personnes qui ne sont pas des étudiants, ont usé de leurs armes blanches et blessé grièvement les deux étudiants qui ont été vite évacuées au C.H.U de la ville de Tizi-Ouzou.
Les étudiants ont, suite à cet acte, investi la rue et bloqué la route qui mène à la nouvelle ville de Tizi-Ouzou. L’intervention de la police a permis d’éviter l'affrontement, puisque, la situation a failli se transformer en une bataille rangée entre les étudiants et des jeunes de quartiers limitrophes.
Ce mercredi matin, une marche a été organisée par les étudiants à l’intérieur de l’université, suivie d’un sit-in devant l’administration et le rectorat.
Le Conseil universitaire du MAK a aussitôt condamné dans un communiqué transmis à Siwel « la démission des pouvoir publics devant la situation sécuritaire alarmante qui s’aggrave à l’université de Tizi-Ouzou ». Il alerte l’opinion publique sur « le laxisme et la légèreté par lesquels est gérée la vie socio-pédagogique des étudiants. Un lieu de savoir, qui est censé être le mieux protégé est volontairement transformé en une propriété de voyous de tout bord ».
Pour ce Conseil, « continuer à augurer la paix du pouvoir central et de ses serviteurs relève de l’utopie et de la naïveté politique. Une Kabylie autonome est l’ultime solution ».
tt
SIWEL 151420 AVR 12
Les étudiants ont, suite à cet acte, investi la rue et bloqué la route qui mène à la nouvelle ville de Tizi-Ouzou. L’intervention de la police a permis d’éviter l'affrontement, puisque, la situation a failli se transformer en une bataille rangée entre les étudiants et des jeunes de quartiers limitrophes.
Ce mercredi matin, une marche a été organisée par les étudiants à l’intérieur de l’université, suivie d’un sit-in devant l’administration et le rectorat.
Le Conseil universitaire du MAK a aussitôt condamné dans un communiqué transmis à Siwel « la démission des pouvoir publics devant la situation sécuritaire alarmante qui s’aggrave à l’université de Tizi-Ouzou ». Il alerte l’opinion publique sur « le laxisme et la légèreté par lesquels est gérée la vie socio-pédagogique des étudiants. Un lieu de savoir, qui est censé être le mieux protégé est volontairement transformé en une propriété de voyous de tout bord ».
Pour ce Conseil, « continuer à augurer la paix du pouvoir central et de ses serviteurs relève de l’utopie et de la naïveté politique. Une Kabylie autonome est l’ultime solution ».
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SIWEL 151420 AVR 12