Mahamadou Djéri Maiga, le vice président du Mouvement national pour la libération e l'Azawad (MNLA) (PH/DR)
Le MNLA a indiqué qu'il mettait fin au cessez-le-feu signé en juin dernier avec le Mali après la violente répression perpétrée jeudi par l'armée malienne contre les populations civiles de Kidal et ayant fait une victime, décédée sous les balles maliennes, et 5 autres grièvement blessées dont des enfants. Le gouvernement malien tente de se justifier et affirme que "ses troupes prises à partie par des éléments incontrôlés ont procédé à des tirs de sommation après avoir essuyé des jets de pierre et des tirs d'armes".
Mahamadou Djari Maiga réfute les arguments du Mali et prévient : "Les forces de l'Azawad feront payer à l'armée malienne son irresponsabilité après son forfait de jeudi", a t-il déclaré. "On ne parle plus de cantonnement. Maintenant que le feu est ouvert, on verra qui est qui. Partout où on a des troupes sur le territoire de l'Azawad, on les appellera à se mobiliser", a-t-il poursuivi.
Après 18 mois de crise politico-militaire et l'intervention des forces françaises dans l'Azawad, le MNLA avait signé le 18 juin à Ouagadougou un cessez-le-feu avec Bamako visant à permettre l'organisation de la présidentielle du 28 juillet à Kidal et mettre en place des négociation pour un statut juridique de l'Azawad.
Le forcing international qui consiste à faire cohabiter de force des peuples en donnant le droit de vie ou de mort à l'une sur l'autre ne pouvait pas durer. Le déclenchement de l'opération Serval a permis aux soldats maliens de se redéployer dans l'Azawad dans le sillage des soldats français venus aider le Mali a reconquérir un territoire qui ne leur a jamais appartenu avant que la France n'établisse des frontière artificielle tracée à la règle selon ses propres besoins. Les soldats maliens ont profité de la présence française venue garantir l'intégrité territoriale du Mali pour reprendre leur activité d'épuration ethnique. Ils ont commis des centaines d'exécutions arbitraire envers le touaregs et les maures.
zp,
SIWEL 300245 NOV 13
Mahamadou Djari Maiga réfute les arguments du Mali et prévient : "Les forces de l'Azawad feront payer à l'armée malienne son irresponsabilité après son forfait de jeudi", a t-il déclaré. "On ne parle plus de cantonnement. Maintenant que le feu est ouvert, on verra qui est qui. Partout où on a des troupes sur le territoire de l'Azawad, on les appellera à se mobiliser", a-t-il poursuivi.
Après 18 mois de crise politico-militaire et l'intervention des forces françaises dans l'Azawad, le MNLA avait signé le 18 juin à Ouagadougou un cessez-le-feu avec Bamako visant à permettre l'organisation de la présidentielle du 28 juillet à Kidal et mettre en place des négociation pour un statut juridique de l'Azawad.
Le forcing international qui consiste à faire cohabiter de force des peuples en donnant le droit de vie ou de mort à l'une sur l'autre ne pouvait pas durer. Le déclenchement de l'opération Serval a permis aux soldats maliens de se redéployer dans l'Azawad dans le sillage des soldats français venus aider le Mali a reconquérir un territoire qui ne leur a jamais appartenu avant que la France n'établisse des frontière artificielle tracée à la règle selon ses propres besoins. Les soldats maliens ont profité de la présence française venue garantir l'intégrité territoriale du Mali pour reprendre leur activité d'épuration ethnique. Ils ont commis des centaines d'exécutions arbitraire envers le touaregs et les maures.
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