Avec cette affaire Rebrab, l’Etat algérien confirme plus que jamais son caractère foncièrement anti-kabyle. Que peut signifier la désignation de Rebrab comme « méchant loup » sinon de le contraindre à abandonner tout projet structurant en Kabylie, et qui en a pourtant tant besoin. En définitive, l’objectif final du pouvoir algérien incarné par le nommé Abdelaziz Bouteflika est de maintenir dans une indigence économique la Kabylie, condition usine-qua- non à son maintien à cette Algérie. Et à lire en filigrane la stratégie d’El Mouradia, c’est d’engendrer la colère des Kabyles contre le Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK). Des exemples du passé n’ont pas manqué. Lors du bombardement meurtrier de Londres en 1940, beaucoup de citoyens anglais ont reproché à Winston Churchill de refuser d’abdiquer comme le maréchal Philippe Pétain devant les Nazis. Beaucoup de Français ont essayé de coller l’étiquette d’ « aventurier » au général Charles de Gaules suite à son appel du 18 Juin proclamant la France libre.
Le ministre algérien de l’industrie, en l’occurrence Abdeslam Bouchouareb, connu déjà dans le passé pour ses tirs aux boulets rouges contre le MAK, a usé de toutes une batterie d’arguments plus ou moins fallacieux les uns que les autres, pour stigmatiser Issad Rebrab. En effet, dans une sortie médiatique, Abdeslam Bouachouareb a poussé l’outrecuidance jusqu’ désigner l’investisseur d’At Dwala de favoriser plus le consommateur français que le consommateur "algérien".
Selon bien l’oui dire, un mandat d’arrêt aurait été lancé contre Issad Rabarab. Une affaire qui nous rappelle celle du mandat d’arrêt émis par l’Etat algérien contre le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Ferhat Mehenni.
Le ministre algérien de l’intérieur a démenti l’information ce qu’il n’a jamais fait pour le cas du président de l'Anavad.
Le MAK, dès le début de cette affaire, a apporté son soutien indéfectible à Issad Rabrab. Le mouvement souverainiste kabyle, estime qu’en en sus de la transformation des usines et des centres de formation en casernes militaires, la construction des prisons sur des terres agricoles, la prolifération des campements militaires à la place des infrastructures nécessaires au développement économique, l’application de la politique de la terre brûlée, la destruction de l’environnement et la politique de terreur qui vise entre autre à travers les kidnappings à faire fuir les investisseurs, le pouvoir algérien cherche carrément à créer la ruine et la désolation de la Kabylie. L’attaque frontale contre les hommes d’affaires kabyles en est la dernière preuve. Le crime de Lèse-majesté de Rebrab est l’investissement, qui est pourtant loin du montant annuel que perçoit l’hôpital de Val-de-Grâce de la part du Chef d’Etat algérien, qu’il a effectué en Kabylie. En somme, il n’est point besoin d’être Jérémie pour savoir qu’à travers cet acharnement, les autorités algériennes veulent pousser le groupe Cévital à se délocaliser de la Kabylie.
Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de dénoncer une fois de plus le terrorisme économique dirigé contre la Kabylie à travers des opérations d’intimidations menées contre les investisseurs dans le désir d’y investir, à l'instar de Rebrab.
Le MAK tient à rassurer les investisseurs kabyles dont Issad Rebrab, qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.
ya
SIWEL 071754 OCT 15
Le ministre algérien de l’industrie, en l’occurrence Abdeslam Bouchouareb, connu déjà dans le passé pour ses tirs aux boulets rouges contre le MAK, a usé de toutes une batterie d’arguments plus ou moins fallacieux les uns que les autres, pour stigmatiser Issad Rebrab. En effet, dans une sortie médiatique, Abdeslam Bouachouareb a poussé l’outrecuidance jusqu’ désigner l’investisseur d’At Dwala de favoriser plus le consommateur français que le consommateur "algérien".
Selon bien l’oui dire, un mandat d’arrêt aurait été lancé contre Issad Rabarab. Une affaire qui nous rappelle celle du mandat d’arrêt émis par l’Etat algérien contre le président du Gouvernement Provisoire Kabyle, Ferhat Mehenni.
Le ministre algérien de l’intérieur a démenti l’information ce qu’il n’a jamais fait pour le cas du président de l'Anavad.
Le MAK, dès le début de cette affaire, a apporté son soutien indéfectible à Issad Rabrab. Le mouvement souverainiste kabyle, estime qu’en en sus de la transformation des usines et des centres de formation en casernes militaires, la construction des prisons sur des terres agricoles, la prolifération des campements militaires à la place des infrastructures nécessaires au développement économique, l’application de la politique de la terre brûlée, la destruction de l’environnement et la politique de terreur qui vise entre autre à travers les kidnappings à faire fuir les investisseurs, le pouvoir algérien cherche carrément à créer la ruine et la désolation de la Kabylie. L’attaque frontale contre les hommes d’affaires kabyles en est la dernière preuve. Le crime de Lèse-majesté de Rebrab est l’investissement, qui est pourtant loin du montant annuel que perçoit l’hôpital de Val-de-Grâce de la part du Chef d’Etat algérien, qu’il a effectué en Kabylie. En somme, il n’est point besoin d’être Jérémie pour savoir qu’à travers cet acharnement, les autorités algériennes veulent pousser le groupe Cévital à se délocaliser de la Kabylie.
Le rassemblement qui aura lieu le 10 octobre à At Dwala-centre sera l’occasion pour le MAK de dénoncer une fois de plus le terrorisme économique dirigé contre la Kabylie à travers des opérations d’intimidations menées contre les investisseurs dans le désir d’y investir, à l'instar de Rebrab.
Le MAK tient à rassurer les investisseurs kabyles dont Issad Rebrab, qui ont choisi de s'installer en Kabylie, de son soutien des plus indéfectibles face aux intimidations dirigées contre eux par les forces occultes et rétrogrades d’Alger.
ya
SIWEL 071754 OCT 15