Le mot "Azawad" inscrit en tifinagh (alphabet touareg) par les combattants du MNLA (PH/ MNLA)
« Le Mouvement National de Libération de l’Azawad prend acte des déclarations irresponsables de M. Diancounda Traore, président intérimaire de la République du Mali, qui promet "une guerre implacable à ceux qui occupent le Nord du Mali" » lit-on dans la déclaration du MNLA qui assure les règnes du nouvel Etat indépendant depuis la ville de Gao, rappelant que le MNLA « n’occupe pas le Nord du Mali mais le territoire légitime du peuple de l’Azawad. ».
Les nouvelles autorités de l'Azawad rappellent « à la communauté nationale azawadienne et à la communauté internationale que le MNLA, suite à la libération de la totalité du territoire de l’Azawad sous occupation malienne, et en réponse à la demande de la communauté internationale, notamment du Conseil de Sécurité des Nations Unis, de la France, des Etats-Unis d’Amérique et de la CEDEAO, a proclamé unilatéralement la fin des opérations militaires afin de favoriser le dialogue politique et la négociation dans l’intérêt des Etats du Mali et de l’Azawad et de leurs peuples respectifs. ».
Cependant, suite à la déclaration « va-t-en guerre » du président intérimaire du Mali, le MNLA « met en garde contre toute intrusion malienne sur le territoire de l’Azawad et considère que toute action militaire de la part du Mali en direction des positions de notre armée de libération nationale équivaudra à une déclaration de Guerre et à une violation flagrante de la fin des opérations militaires. » précise la déclaration du commandement de l'armée azawadienne qui prend à témoin la communauté et les instances internationales dont la CEDEAO que les déclarations d’hostilité « relèvent de la seule responsabilité des autorités intérimaires du Mali venues combler la vacance du pouvoir malien défait par le putsch d’un simple capitaine de l’armée. »
L'autorité azawadienne déclare être « disposée au dialogue et à la négociation mais avec des autorités maliennes légitimes, élues, librement choisies par les populations maliennes et reconnues par la communauté internationale. »
bbi
SIWEL 131451 AVR 12
Les nouvelles autorités de l'Azawad rappellent « à la communauté nationale azawadienne et à la communauté internationale que le MNLA, suite à la libération de la totalité du territoire de l’Azawad sous occupation malienne, et en réponse à la demande de la communauté internationale, notamment du Conseil de Sécurité des Nations Unis, de la France, des Etats-Unis d’Amérique et de la CEDEAO, a proclamé unilatéralement la fin des opérations militaires afin de favoriser le dialogue politique et la négociation dans l’intérêt des Etats du Mali et de l’Azawad et de leurs peuples respectifs. ».
Cependant, suite à la déclaration « va-t-en guerre » du président intérimaire du Mali, le MNLA « met en garde contre toute intrusion malienne sur le territoire de l’Azawad et considère que toute action militaire de la part du Mali en direction des positions de notre armée de libération nationale équivaudra à une déclaration de Guerre et à une violation flagrante de la fin des opérations militaires. » précise la déclaration du commandement de l'armée azawadienne qui prend à témoin la communauté et les instances internationales dont la CEDEAO que les déclarations d’hostilité « relèvent de la seule responsabilité des autorités intérimaires du Mali venues combler la vacance du pouvoir malien défait par le putsch d’un simple capitaine de l’armée. »
L'autorité azawadienne déclare être « disposée au dialogue et à la négociation mais avec des autorités maliennes légitimes, élues, librement choisies par les populations maliennes et reconnues par la communauté internationale. »
bbi
SIWEL 131451 AVR 12