Khadija Ben Saïdane, présidente de l’association, a indiqué que cette dernière a été fondée en avril dernier dans le sillage du congrès national Amazigh qui s'est tenu à Matmata, village du sud de la Tunisie (gouvernorat de Gabès). Elle a ajouté que « l'obtention du visa légal constitue l'un des acquis de la révolution tunisienne, rappelant les restrictions imposées par l'ancien régime qui a entravé l'épanouissement de la culture Amazighe, la plus ancienne du pays, par tous les moyens ».
L’Association a plusieurs objectifs qui incluent la mise en valeur du patrimoine amazigh tunisien, le développer et le faire connaître à dans le pays et à l'étranger, le valoriser et l'exploiter au service du développement intégral, notamment dans les régions amazighophones, encourager les recherches, les études et la production se rapportant à la culture amazighe, d’organiser des évènements dans ce domaine, de relancer l'usage de l'écriture "tifinagh" en tant qu'outil d'expression et de transcription graphique de la langue Amazighe.
L’Association œuvre également à préserver les particularités architecturales des villages amazighs tunisiens et se fixe l'objectif que ceux-ci soient inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
cc
SIWEL 021430 AOÛT 11
L’Association a plusieurs objectifs qui incluent la mise en valeur du patrimoine amazigh tunisien, le développer et le faire connaître à dans le pays et à l'étranger, le valoriser et l'exploiter au service du développement intégral, notamment dans les régions amazighophones, encourager les recherches, les études et la production se rapportant à la culture amazighe, d’organiser des évènements dans ce domaine, de relancer l'usage de l'écriture "tifinagh" en tant qu'outil d'expression et de transcription graphique de la langue Amazighe.
L’Association œuvre également à préserver les particularités architecturales des villages amazighs tunisiens et se fixe l'objectif que ceux-ci soient inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
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