Le peuple mozabite, amazigh et de rite ibadite, sage et non-violent, subit une inadmissible agression raciste de la part du régime algérien dont les forces de police appuient ouvertement les hordes arabes dites « châambies » qui veulent le chasser de ses terres et de ses maisons.
La police algérienne, loin de porter secours aux victimes, protège les agresseurs et leur ouvre le passage par des tirs de bombes lacrymogènes en direction des Mozabites qui tentent vainement d’ériger des barricades de fortune. Le racisme d’Etat contre le M’zab et contre la Kabylie est d'une extrême gravité qui met en détresse deux peuples qui se battent pour leur existence. L’Etat algérien mobilise ses moyens répressifs pour les briser.
Depuis hier, le régime algérien a renforcé son dispositif répressif en envoyant des renforts policiers pour quadriller la ville de Ghardaïa, la capitale mozabite où la violence a atteint un niveau insupportable.
L'Anavad exprime son inquiétude devant ces agressions qui, quand elles ne sont pas provoquées par les tenants du régime militaire, sont soutenues par les forces de l’Etat. Ces dernières se sont attaché les services d’une justice aux ordres pour juger non pas les agresseurs mais les porte-parole des agressés comme le professeur Kamel Edine Fekhar victime d’un harcèlement judiciaire sans précédent.
L'Anavad condamne fermement l'attitude raciste et criminelle du régime algérien envers le peuple frère amazigh du Mzab qu’il assure du soutien indéfectible de la Kabylie.
L’Anavad appelle l’Union Européenne à suspendre le traité de coopération signé avec le régime algérien et à prendre des sanctions contre celui-ci. La situation humanitaire qui se dégrade dans le Mzab (600 km au Sud-Est d’Alger) doit interpeller la France et la Communauté Européenne.
L'Anavad, très inquiet de ce racisme d’Etat contre les Amazighs en général, les Kabyles et les Mozabites en particuliers, appelle l'ONU et les organisations internationales de défense des droits de l'Homme à intervenir au plus vite pour mettre un terme à la tragédie qui se déroule à huis-clos dans la vallée du Mzab.
L'Anavad fera tout ce qui est en son pouvoir pour déchirer le voile du silence international qui entoure cette affaire et combattre l'indifférence face à la situation que vivent les Mozabites et qui s'apparente clairement à du colonialisme génocidaire.
Exil, le 27/12/2013
Makhlouf IDRI,
Ministre kabyle chargé des Droits Humains et porte-parole de l’Anavad, le Gouvernement Provisoire Kabyle en exil.
En pièce-jointe, le communiqué de l'Anavad
La police algérienne, loin de porter secours aux victimes, protège les agresseurs et leur ouvre le passage par des tirs de bombes lacrymogènes en direction des Mozabites qui tentent vainement d’ériger des barricades de fortune. Le racisme d’Etat contre le M’zab et contre la Kabylie est d'une extrême gravité qui met en détresse deux peuples qui se battent pour leur existence. L’Etat algérien mobilise ses moyens répressifs pour les briser.
Depuis hier, le régime algérien a renforcé son dispositif répressif en envoyant des renforts policiers pour quadriller la ville de Ghardaïa, la capitale mozabite où la violence a atteint un niveau insupportable.
L'Anavad exprime son inquiétude devant ces agressions qui, quand elles ne sont pas provoquées par les tenants du régime militaire, sont soutenues par les forces de l’Etat. Ces dernières se sont attaché les services d’une justice aux ordres pour juger non pas les agresseurs mais les porte-parole des agressés comme le professeur Kamel Edine Fekhar victime d’un harcèlement judiciaire sans précédent.
L'Anavad condamne fermement l'attitude raciste et criminelle du régime algérien envers le peuple frère amazigh du Mzab qu’il assure du soutien indéfectible de la Kabylie.
L’Anavad appelle l’Union Européenne à suspendre le traité de coopération signé avec le régime algérien et à prendre des sanctions contre celui-ci. La situation humanitaire qui se dégrade dans le Mzab (600 km au Sud-Est d’Alger) doit interpeller la France et la Communauté Européenne.
L'Anavad, très inquiet de ce racisme d’Etat contre les Amazighs en général, les Kabyles et les Mozabites en particuliers, appelle l'ONU et les organisations internationales de défense des droits de l'Homme à intervenir au plus vite pour mettre un terme à la tragédie qui se déroule à huis-clos dans la vallée du Mzab.
L'Anavad fera tout ce qui est en son pouvoir pour déchirer le voile du silence international qui entoure cette affaire et combattre l'indifférence face à la situation que vivent les Mozabites et qui s'apparente clairement à du colonialisme génocidaire.
Exil, le 27/12/2013
Makhlouf IDRI,
Ministre kabyle chargé des Droits Humains et porte-parole de l’Anavad, le Gouvernement Provisoire Kabyle en exil.
En pièce-jointe, le communiqué de l'Anavad