PH/KAB
M. Tabou s’exprimait à l’occasion d’un meeting populaire organisé à la maison de la culture de Tizi Ouzou pour le 48eme anniversaire de la création du FFS a exhorté l'Occident à « accompagner la volonté des peuples à s’émanciper et à se libérer de ces régimes dictatoriaux ».
« Il faut arrêtez de se poser en victimes du pétrole et de l’argent », a-t-il lancé.
Il a souligné que le pouvoir algérien « utilise le chantage sécuritaire, fait croire à l’opinion l’existence d’El Qaida et fait dans la gestion par la peur ».
Le Premier secrétaire du FFS a ajouté que le système a utilisé, au début de l’année « trois faux actes, il a organisé de fausses émeutes téléguidées qui ont éclaté simultanément dans 38 wilayas, de fausses marches et de fausse révolutions pour empêcher les vraies ».
Karim Tabou a expliqué que le pouvoir algérien « ouvre le dossier de la réouverture des frontière avec le Maroc pour faire pression sur la Tunisie et tenter d’empêcher le changement », ajoutant que « l’histoire est en marche, les peuples bougent, même la géographie bouge mais le régime algérien ne veut pas bouger » tout en dénonçant au passage la « persistance du statut quo ».
Le même responsable a indiqué que « l’islamisme n’a jamais posé un problème pour le pouvoir » en disant que celui-ci « a au contraire prospéré ces dernière années. Il s’est accaparé les marchés informels et l’école s’est islamisée ».
uz
SIWEL 301410 SEPT 11
« Il faut arrêtez de se poser en victimes du pétrole et de l’argent », a-t-il lancé.
Il a souligné que le pouvoir algérien « utilise le chantage sécuritaire, fait croire à l’opinion l’existence d’El Qaida et fait dans la gestion par la peur ».
Le Premier secrétaire du FFS a ajouté que le système a utilisé, au début de l’année « trois faux actes, il a organisé de fausses émeutes téléguidées qui ont éclaté simultanément dans 38 wilayas, de fausses marches et de fausse révolutions pour empêcher les vraies ».
Karim Tabou a expliqué que le pouvoir algérien « ouvre le dossier de la réouverture des frontière avec le Maroc pour faire pression sur la Tunisie et tenter d’empêcher le changement », ajoutant que « l’histoire est en marche, les peuples bougent, même la géographie bouge mais le régime algérien ne veut pas bouger » tout en dénonçant au passage la « persistance du statut quo ».
Le même responsable a indiqué que « l’islamisme n’a jamais posé un problème pour le pouvoir » en disant que celui-ci « a au contraire prospéré ces dernière années. Il s’est accaparé les marchés informels et l’école s’est islamisée ».
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SIWEL 301410 SEPT 11