Le journaliste, dans un style indigeste, a passé les 10 premières minutes de son émission à condamner l’interview de Ferhat Mehenni sur les colonnes du journal algérien francophone Liberté, allant jusqu’à y voir un soutien de Issad Rebrab à l’indépendance de la Kabylie. Karim Tabbou n’a pas été d’accord avec le journaliste quant à la publication de l'interview de Ferhat Mehenni, même s’il a dit que « le projet de l’indépendance de la Kabylie est une dérive dangereuse pour l’unité nationale (de l’Algérie, ndlr) ».
Quand le journaliste a déclaré, dans une diatribe insultante, que Ferhat Mehenni est un homme isolé, l'ancien premier secrétaire du FFS a alors rappelé que le 20 avril dernier, des milliers et des milliers de Kabyles ont marché pour l’indépendance de la Kabylie.
A chaque fois que le journaliste a attaqué Ferhat Mehenni, Karim Tabbou a expliqué que le pouvoir algérien est responsable de la situation d'aujourd’hui.
Il a également déclaré que les partis politiques algériens font tous du régionalisme et s’appuient tous sur une région de l'Algérie pour atteindre leurs desseins.
Sur le plan économique, il a expliqué que tout est à faire et que l’économie algérienne, 54 ans après la décolonisation de l’Algérie, est encore à l’état primitif : « On vend du pétrole, on récupère l’argent et on le dépense aussitôt, pour subventionner les produits notamment… c’est tout ».
Concernant la crise actuelle au sein du FFS, Karim Tabbou a expliqué que cela est dû principalement à la disparition du leader naturel du parti, Hocine Ait Ahmed, il y a presque un an.
Vidéo
nbb
SIWEL 222157 DEC 16
Quand le journaliste a déclaré, dans une diatribe insultante, que Ferhat Mehenni est un homme isolé, l'ancien premier secrétaire du FFS a alors rappelé que le 20 avril dernier, des milliers et des milliers de Kabyles ont marché pour l’indépendance de la Kabylie.
A chaque fois que le journaliste a attaqué Ferhat Mehenni, Karim Tabbou a expliqué que le pouvoir algérien est responsable de la situation d'aujourd’hui.
Il a également déclaré que les partis politiques algériens font tous du régionalisme et s’appuient tous sur une région de l'Algérie pour atteindre leurs desseins.
Sur le plan économique, il a expliqué que tout est à faire et que l’économie algérienne, 54 ans après la décolonisation de l’Algérie, est encore à l’état primitif : « On vend du pétrole, on récupère l’argent et on le dépense aussitôt, pour subventionner les produits notamment… c’est tout ».
Concernant la crise actuelle au sein du FFS, Karim Tabbou a expliqué que cela est dû principalement à la disparition du leader naturel du parti, Hocine Ait Ahmed, il y a presque un an.
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