M. Ferhat Mehenni, président du GPK. PH/Siwel
Selon l'appel du GPK, « le pouvoir algérien encourage cette pratique criminelle en fermant les yeux et en neutralisant les services de sécurité auxquels il interdit d'intervenir dans ce genre de cas ». L’objectif, en faisant du kidnapping une industrie lucrative, selon le GPK est « de faire fuir les entrepreneurs de la Kabylie pour affamer le peuple ».
« Conjugué à la pression fiscale si dure dans cette partie du pays, rappelle l’Anavad, il ne laisse de choix aux commerçants et aux investisseurs que dans le départ vers d'autres pays ».
Toujours dans le même ordre d’idées, le GPK ajoute qu’en plus des battues citoyennes ou des grèves qui sont faites pour faire libérer les personnes enlevées, « l'Anavad invite les comités de villages et de quartiers à se concerter sur la manière d'organiser la sécurité de nos concitoyens envers et contre le pouvoir et ses kidnappeurs ».
aai
SIWEL211656MAI11
« Conjugué à la pression fiscale si dure dans cette partie du pays, rappelle l’Anavad, il ne laisse de choix aux commerçants et aux investisseurs que dans le départ vers d'autres pays ».
Toujours dans le même ordre d’idées, le GPK ajoute qu’en plus des battues citoyennes ou des grèves qui sont faites pour faire libérer les personnes enlevées, « l'Anavad invite les comités de villages et de quartiers à se concerter sur la manière d'organiser la sécurité de nos concitoyens envers et contre le pouvoir et ses kidnappeurs ».
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