Un prêche de salafiste devant une mosquée (PH/DR)
Les mosquées poussent comme des champignons dans la ville de Tizi Wezzu. Chaque quartier a sa propre mosquée. Certaines sont en projets, tandis que d'autres sont déjà en construction ou en voie d’achèvement. Les lieux cultuels dédiées aux salafistes sont construits anarchiquement sans aucun respect des règles de l’urbanisme, mais peu importe, plus Tizi-Wezzu est moche et truffée de mosquées salafistes et mieux ça vaut.
Parmi les dizaines de nouvelles nouvelles mosquée, une est érigée entre un collège et un Lycée sur un boulevard de la ville de Tizi Wezzu. Des lycéens et des collégiens se mêleront aux salafistes qui occupent nuits et jours ces mosquées pour leurs petites et grandes affaires. Or, le lycée est le meilleur endroit pour mener des campagnes de propagande et d’islamisation des adolescents kabyles. mêmes les conditions de sécurités urbaines ne sont pas respectées, pourvu que la ville soit inondée de salafistes car, en effet, l’extension d’une mosquée à la nouvelle ville a provoquée un gigantesque glissement de terrain.
Une autre mosquée est également en voie d’achèvement au niveau de la nouvelle-ville, non loin du portail principal des résidences universitaires des jeunes filles et de l’université de Bastos. Ainsi, chaque lycée, université et autre structure éducative est doublée d’une mosquée à Tizi Wezzu, pour y exercer la propagande ou la terreur pour les récalcitrants.
Le nombre de mosquées existantes dans cette ville est très nettement supérieur aux structures sanitaires. Une politique d’islamisation et de radicalisation de la société civile est initiée depuis fort longtemps par le pouvoir, ce n'est pas nouveau mais ces dernières années, l'Etat algérien a investi dans le salafisme, celui-ci ayant l'avantage d'être plus "persuasif" et de bénéficier du soutien des monarchies arabes génératrices d'islamo-terrorisme, en l’occurrence le Qatar et l'Arabie Saoudite, celles-ci étant elles-mêmes dans les bonnes grâces de l'Occident, dépassé par ses insatiables appétits en hydrocarbures et en ressources énergétiques.
En Kabylie, les vieux imams sont remplacés par des imams salafistes sortis tout droit de l'université islamique d'Alger, la même qui a formé la cohorte d'assassins aujourd'hui "repentis" et qui exercent justement avec "leurs collègues" en Kabylie. Nos vieux imams Kabyles prêchant un islam ouvert et tolérant comme cela a toujours été en Kabylie ont fini par déserter les mosquées à force d'être bousculés par ces salafistes. Un vieux Kabyle, pourtant fervent pratiquant musulmane a déclaré au journal Tamurt: «Un autre Islam est institué par les salafistes qui sont de plus en plus nombreux dans toutes les mosquées de la ville de Tizi Wezzu, c’est pour cette raison que moi et mes amis, nous avons décidé de déserter ces lieux qui sont tout sauf une mosquée où on peut pratiquer notre religion ».
avec Tamurt,
SIWEL 011344 OCT 13
Parmi les dizaines de nouvelles nouvelles mosquée, une est érigée entre un collège et un Lycée sur un boulevard de la ville de Tizi Wezzu. Des lycéens et des collégiens se mêleront aux salafistes qui occupent nuits et jours ces mosquées pour leurs petites et grandes affaires. Or, le lycée est le meilleur endroit pour mener des campagnes de propagande et d’islamisation des adolescents kabyles. mêmes les conditions de sécurités urbaines ne sont pas respectées, pourvu que la ville soit inondée de salafistes car, en effet, l’extension d’une mosquée à la nouvelle ville a provoquée un gigantesque glissement de terrain.
Une autre mosquée est également en voie d’achèvement au niveau de la nouvelle-ville, non loin du portail principal des résidences universitaires des jeunes filles et de l’université de Bastos. Ainsi, chaque lycée, université et autre structure éducative est doublée d’une mosquée à Tizi Wezzu, pour y exercer la propagande ou la terreur pour les récalcitrants.
Le nombre de mosquées existantes dans cette ville est très nettement supérieur aux structures sanitaires. Une politique d’islamisation et de radicalisation de la société civile est initiée depuis fort longtemps par le pouvoir, ce n'est pas nouveau mais ces dernières années, l'Etat algérien a investi dans le salafisme, celui-ci ayant l'avantage d'être plus "persuasif" et de bénéficier du soutien des monarchies arabes génératrices d'islamo-terrorisme, en l’occurrence le Qatar et l'Arabie Saoudite, celles-ci étant elles-mêmes dans les bonnes grâces de l'Occident, dépassé par ses insatiables appétits en hydrocarbures et en ressources énergétiques.
En Kabylie, les vieux imams sont remplacés par des imams salafistes sortis tout droit de l'université islamique d'Alger, la même qui a formé la cohorte d'assassins aujourd'hui "repentis" et qui exercent justement avec "leurs collègues" en Kabylie. Nos vieux imams Kabyles prêchant un islam ouvert et tolérant comme cela a toujours été en Kabylie ont fini par déserter les mosquées à force d'être bousculés par ces salafistes. Un vieux Kabyle, pourtant fervent pratiquant musulmane a déclaré au journal Tamurt: «Un autre Islam est institué par les salafistes qui sont de plus en plus nombreux dans toutes les mosquées de la ville de Tizi Wezzu, c’est pour cette raison que moi et mes amis, nous avons décidé de déserter ces lieux qui sont tout sauf une mosquée où on peut pratiquer notre religion ».
avec Tamurt,
SIWEL 011344 OCT 13