C’est pourquoi aussi, la famille du Mouvement pour l’Autodétermination de la Kabylie (MAK) a été fortement présente au village natal du martyr, Tiferdhouth. A l’occasion de la prise de parole, Bouaziz Aït-Chebib a fait un aperçu historique sur cette journée fatidique du 2 novembre 1982.
Du coup, il a explicité les grandes visées du régime algérien à cette époque même car il était surtout question d’éviter de changer le plan d’arabisation et d’islamisation de l’Algérie. « L’assassinat de Kamel Amzal, est survenu juste deux années après le Printemps 1980 », a insisté le président du MAK pour conclure ensuite que « même le régime algérien était complice dans l’assassinat de Kamel Amzal ».
L’orateur a également souligné que le défunt étudiant savait que la situation sécuritaire à la cité où il résidait était explosive mais au lieu de prendre la fuite, il a préféré affronter le danger, lequel lui a coûté la vie.
De même, le président du MAK a réussi à démontrer le lien existant entre ces événements de la décennie 1980 et ce qui se passe aujourd’hui. L’arabo-islamisme que l’on voit aujourd’hui est bel et bien le résultat de la politique anti-kabyle entretenue par le régime dès les premiers jours de l’indépendance du pays. « Toutes ces réalités et tous les cas cités, poursuit Bouaiz Aït-Chebib, nous interpellent sur l’urgence à prendre notre destinée par nous-mêmes ».
Pour sa part, Mouloud Hamrani, président du conseil universitaire du MAK, a fait état des changements et événements survenus depuis le 2 novembre 1982 au 2 novembre 2013. C’est la forme allégorique qui est utilisée dans la rédaction et la lecture du document. Et c’est sur cette fin de lecture que prit fin aussi la fin de la cérémonie.
Du coup, il a explicité les grandes visées du régime algérien à cette époque même car il était surtout question d’éviter de changer le plan d’arabisation et d’islamisation de l’Algérie. « L’assassinat de Kamel Amzal, est survenu juste deux années après le Printemps 1980 », a insisté le président du MAK pour conclure ensuite que « même le régime algérien était complice dans l’assassinat de Kamel Amzal ».
L’orateur a également souligné que le défunt étudiant savait que la situation sécuritaire à la cité où il résidait était explosive mais au lieu de prendre la fuite, il a préféré affronter le danger, lequel lui a coûté la vie.
De même, le président du MAK a réussi à démontrer le lien existant entre ces événements de la décennie 1980 et ce qui se passe aujourd’hui. L’arabo-islamisme que l’on voit aujourd’hui est bel et bien le résultat de la politique anti-kabyle entretenue par le régime dès les premiers jours de l’indépendance du pays. « Toutes ces réalités et tous les cas cités, poursuit Bouaiz Aït-Chebib, nous interpellent sur l’urgence à prendre notre destinée par nous-mêmes ».
Pour sa part, Mouloud Hamrani, président du conseil universitaire du MAK, a fait état des changements et événements survenus depuis le 2 novembre 1982 au 2 novembre 2013. C’est la forme allégorique qui est utilisée dans la rédaction et la lecture du document. Et c’est sur cette fin de lecture que prit fin aussi la fin de la cérémonie.