Dans son message de l'édition 2012 de l'évènement, la Directrice générale de l'UNESCO, Mme Irina Bokova déclarera : « L’utilisation de la langue maternelle à l’école est un puissant remède contre l’analphabétisme. Mais traduire cette vérité dans la réalité de la classe est un défi. Les populations exclues comme les peuples autochtones sont souvent celles dont les langues maternelles sont ignorées des systèmes éducatifs. Leur permettre d’apprendre, dès le plus jeune âge, dans leur langue maternelle puis dans d’autres langues, nationale, officielle ou autre, c’est promouvoir l’égalité et l’inclusion sociale. »
Elle ajoutera :« La perte d’une langue est un appauvrissement de l’humanité. C’est un recul dans la défense des droits de chacun à se faire entendre, à apprendre et à communiquer. Chaque langue est aussi porteuse d’un patrimoine culturel qui élargit notre diversité créatrice. Cette diversité culturelle est aussi importante que la biodiversité dans la nature. Elles sont étroitement liées. Certaines langues de peuples autochtones sont porteuses de connaissances sur la biodiversité ou la gestion des écosystèmes. Ce potentiel linguistique est une force de développement durable, il mérite d’être partagé ».
Pour conclure, la Directrice générale dira que : « La vitalité des langues dépend de tous ceux qui les parlent et se mobilisent pour les protéger. L’UNESCO leur rend hommage et veille à ce que leurs voix soient écoutées pour la conception des politiques éducatives, de développement et de cohésion sociale ».
cc
SIWEL 21 2143 FEV 12
Elle ajoutera :« La perte d’une langue est un appauvrissement de l’humanité. C’est un recul dans la défense des droits de chacun à se faire entendre, à apprendre et à communiquer. Chaque langue est aussi porteuse d’un patrimoine culturel qui élargit notre diversité créatrice. Cette diversité culturelle est aussi importante que la biodiversité dans la nature. Elles sont étroitement liées. Certaines langues de peuples autochtones sont porteuses de connaissances sur la biodiversité ou la gestion des écosystèmes. Ce potentiel linguistique est une force de développement durable, il mérite d’être partagé ».
Pour conclure, la Directrice générale dira que : « La vitalité des langues dépend de tous ceux qui les parlent et se mobilisent pour les protéger. L’UNESCO leur rend hommage et veille à ce que leurs voix soient écoutées pour la conception des politiques éducatives, de développement et de cohésion sociale ».
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