En effet, c'était Rachid Hanifi, président du Comité olympique algérien qui avait déclaré au journal londonien The Times que « c’est pour nous une obligation de demander l’avis de notre gouvernement si on doit ou non rencontrer des athlètes israéliens lors des jeux olympiques », car « c’est une question de logique, ce n’est pas une simple décision sportive, c’est aussi une décision politique».
Dans une déclaration à Associated Press, le porte-parole du CIO a estimé que la menace des athlètes algériens « est un scénario hypothétique ». Il a ajouté que «refuser de participer à un évènement olympique à cause de la religion ou de la nationalité d’un autre athlète n’est pas seulement un comportement antisportif mais une violation grave du Code éthique du Comité international olympique et des principes de la charte olympique et le serment des athlètes ».
Le porte-parole a ajouté que « si une équipe ou un athlète ne vient pas avec un esprit d’amitié et de fair-play, il est préférable qu’il reste chez lui ». Une manière de dire que si les athlètes algériens décideront de boycotter les israéliens, ils ne seront pas les bienvenus à Londres.
Le CIO estimé, par ailleurs, que cette instance « ne peut pas faire des discriminations pour aucune raison entre les participants dans les jeux olympiques ».
aai
SIWEL 10 1206 JUIN12
Dans une déclaration à Associated Press, le porte-parole du CIO a estimé que la menace des athlètes algériens « est un scénario hypothétique ». Il a ajouté que «refuser de participer à un évènement olympique à cause de la religion ou de la nationalité d’un autre athlète n’est pas seulement un comportement antisportif mais une violation grave du Code éthique du Comité international olympique et des principes de la charte olympique et le serment des athlètes ».
Le porte-parole a ajouté que « si une équipe ou un athlète ne vient pas avec un esprit d’amitié et de fair-play, il est préférable qu’il reste chez lui ». Une manière de dire que si les athlètes algériens décideront de boycotter les israéliens, ils ne seront pas les bienvenus à Londres.
Le CIO estimé, par ailleurs, que cette instance « ne peut pas faire des discriminations pour aucune raison entre les participants dans les jeux olympiques ».
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