Il était 20h40 quand Lounès sort de chez lui pour se rendre à la pompe à essence, non loin de son domicile.
Sur son chemin, il y a un restaurant abandonné, avec un parking sans éclairage donnant sur la RN26.
Tout est noir, un homme lui demande de l'aider à pousser sa voiture, le jeune homme accepte et s'approche du véhicule. Soudain, l'homme pousse Lounès dans le coffre de la Chevrolet noire modèle Avio.
Deux autres hommes s’approchent du coffre, ils le forcent à leur remettre son téléphone portable, pour qu'ainsi, il ne puisse contacter personne pour demander de l'aide.
La voiture entre dans la rue d'un hameau situé entre les villages de Raffour et Chorfa. Là, se trouvait une unité de gendarmes. Le véhicule s’éloigne encore. Puis soudainement, le chauffeur réduit la vitesse et se gare sur le bas coté de la route. Les trois kidnappeurs sortent de la voiture, s'enfuient, non sans avoir au préalable ouvert le coffre.
Le jeune homme voit enfin le ciel. Il n’entend plus aucun bruit, il sort alors du coffre et se dirige vers son village, parcourant une longue distance avant d'arriver à une cafétéria où il retrouve un membre de sa famille et ses amis.
Lounès est escorté par ses proches et est rentré chez lui sain et sauf.
Lounès dira à propos de ses kidnappeurs qu'ils parlaient un kabyle approximatif.
On peut se demander pourquoi ces individus ont tenté de le kidnapper. Y a-t-il eu erreur sur la personne ?
La vigilance est plus que de mise pour tous les citoyens Kabyles, qui subissent depuis des années les affres machiavéliques de l'état colonial algérien, pourvoyeur de bandits dans nos campagnes et de terroristes dans nos maquis, pour semer la terreur et l'insécurité en Kabylie.
SIWEL 241025 MAR 16
Sur son chemin, il y a un restaurant abandonné, avec un parking sans éclairage donnant sur la RN26.
Tout est noir, un homme lui demande de l'aider à pousser sa voiture, le jeune homme accepte et s'approche du véhicule. Soudain, l'homme pousse Lounès dans le coffre de la Chevrolet noire modèle Avio.
Deux autres hommes s’approchent du coffre, ils le forcent à leur remettre son téléphone portable, pour qu'ainsi, il ne puisse contacter personne pour demander de l'aide.
La voiture entre dans la rue d'un hameau situé entre les villages de Raffour et Chorfa. Là, se trouvait une unité de gendarmes. Le véhicule s’éloigne encore. Puis soudainement, le chauffeur réduit la vitesse et se gare sur le bas coté de la route. Les trois kidnappeurs sortent de la voiture, s'enfuient, non sans avoir au préalable ouvert le coffre.
Le jeune homme voit enfin le ciel. Il n’entend plus aucun bruit, il sort alors du coffre et se dirige vers son village, parcourant une longue distance avant d'arriver à une cafétéria où il retrouve un membre de sa famille et ses amis.
Lounès est escorté par ses proches et est rentré chez lui sain et sauf.
Lounès dira à propos de ses kidnappeurs qu'ils parlaient un kabyle approximatif.
On peut se demander pourquoi ces individus ont tenté de le kidnapper. Y a-t-il eu erreur sur la personne ?
La vigilance est plus que de mise pour tous les citoyens Kabyles, qui subissent depuis des années les affres machiavéliques de l'état colonial algérien, pourvoyeur de bandits dans nos campagnes et de terroristes dans nos maquis, pour semer la terreur et l'insécurité en Kabylie.
SIWEL 241025 MAR 16