La population indignée par le comportement voyou des policiers algériens a, en fin de meeting, improvisé une marche de protestation où les mots d’ordre tels que « Kabylie indépendante » et « pouvoir assassin » ont fusé le long de cette procession qui a battu le pavé sur deux kilomètres parcourus. Elle devait se terminer dans une cité de la ville par le dépôt d’une gerbe de fleurs à la mémoire de 130 victimes du Printemps Noir de 2001.
Le Commissaire Brahim Megherfiqui craignait d’être radié des effectifs de la police algérienne si les partisans du MAK procédaient à ce dépôt de fleurs, s’était entouré d'une bande de voyous et de policiers en civil pour empêcher ce geste symbolique et mémoriel.
Les ordres donnés par Alger à ses agents du colonialisme en Kabylie, ces derniers temps, vont dans le sens de s’attaquer aux actions pacifiques du MAK par des groupes de policiers transformés en voyous.
Le nom du commissaire Brahim Megherfi sera retenu par l’Histoire de la Kabylie parmi ceux qui ont aidé vainement l’Etat algérien à tenter de mettre le peuple kabyle à genou.
Un groupe de très jeunes gens, chargés par le commissaire d'agresser la délégation du MAK, se sont rendus compte de leur manipulation par le commissaire de police quand ce dernier leur a déclaré sur un ton de reproche: " pourquoi vous n'avez pas agressé les membres du MAK au couteau ?!". Suite à cela, ce groupe de jeunes sont allés s'excuser auprès de la délégation du MAK.
Pour contrer le MAK, l'État algérien est en train de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs volets. Cependant, face à la légitimité du combat mené par le peuple kabyle et porté courageusement par le MAK, l'État colonial algérien a déjà perdu. La liberté de la Kabylie n'est plus qu'une question de temps, et ce, quels que soient les plans et les moyens qu'Alger pourra mettre en place. Nul ne peut se dresser contre la volonté d'un peuple.
gn/cdb/zp,
SIWEL 261541 MAR 16
Le Commissaire Brahim Megherfiqui craignait d’être radié des effectifs de la police algérienne si les partisans du MAK procédaient à ce dépôt de fleurs, s’était entouré d'une bande de voyous et de policiers en civil pour empêcher ce geste symbolique et mémoriel.
Les ordres donnés par Alger à ses agents du colonialisme en Kabylie, ces derniers temps, vont dans le sens de s’attaquer aux actions pacifiques du MAK par des groupes de policiers transformés en voyous.
Le nom du commissaire Brahim Megherfi sera retenu par l’Histoire de la Kabylie parmi ceux qui ont aidé vainement l’Etat algérien à tenter de mettre le peuple kabyle à genou.
Un groupe de très jeunes gens, chargés par le commissaire d'agresser la délégation du MAK, se sont rendus compte de leur manipulation par le commissaire de police quand ce dernier leur a déclaré sur un ton de reproche: " pourquoi vous n'avez pas agressé les membres du MAK au couteau ?!". Suite à cela, ce groupe de jeunes sont allés s'excuser auprès de la délégation du MAK.
Pour contrer le MAK, l'État algérien est en train de mettre en place un plan d'action comprenant plusieurs volets. Cependant, face à la légitimité du combat mené par le peuple kabyle et porté courageusement par le MAK, l'État colonial algérien a déjà perdu. La liberté de la Kabylie n'est plus qu'une question de temps, et ce, quels que soient les plans et les moyens qu'Alger pourra mettre en place. Nul ne peut se dresser contre la volonté d'un peuple.
gn/cdb/zp,
SIWEL 261541 MAR 16