Hommage aux martyrs du Printemps noir à Iwadhien le 26 avril 2012 (PH / M.Y - SIWEL)
Les citoyens se sont ébranlés depuis le centre-ville d'Iwadhiyen vers la cité Abane Ramdane ou un sanctuaire était érigé à la mémoire des quatre martyrs de la région dont les plus jeunes avaient 16 ans lors des évènements qui leur ont coûté la vie. Une gerbe de fleurs a été déposée sur le sanctuaire en guise d'hommage.
« De quel crime sont-ils coupables pour y être assassinés ? » déclare un vieil homme de 78 ans les larmes aux yeux. « Ces enfants doivent être vos repères pour poursuivre leur combat » s'est-il adressé aux jeunes Kabyles qui l'entourent.
Des militants du MAK dont Chérifi Ahcene, Mohand Ouamar Hachim et Hocine Azem ont dans leur prise de parole informé l'assistance que le GPK avait déposé une plainte auprès de la Coure pénale internationate (CPI) pour crimes contre l'humanité à l'encontre de la jeunesse kabyle lors du printemps noir : « Le GPK entend poursuivre les criminels de la Kabylie devant les instances internationales en usant du droit international contre l'Etat algérien qui refuse de rendre justice et garantie l'impunité aux criminels par droit interne et autres procédures bureaucratiques. »
L'assistance s'est ensuite rendue au Mémorial des Martyrs Noir des villages de la commune de Ouadhias, un lieu érigé pour entretenir la mémoire collective de la région. Sur place les prises de parole se sont vite convergé sur le rejet des échéances électorales du 10 mai 2012, qualifiées par les uns d'« instrumentalisation du sang des martyrs par tous ceux qui y participent ». Le MAK a tenu à rendre hommage « à toutes les victimes du pouvoir algérien de 1962 jusqu'aujourd'hui » en appelant publiquement à une « large mobilisation de la Kabylie au rejet de toutes échéances électorales jusqu’au référendum d'auto-détermination du peuple kabyle. »
La commémoration s'est achevée par le partage d'un couscous entre les citoyens présents sous les chansons engagées de Matoub, Ferhat, etc.
ib/bbi
SIWEL 271525 AVR 12
« De quel crime sont-ils coupables pour y être assassinés ? » déclare un vieil homme de 78 ans les larmes aux yeux. « Ces enfants doivent être vos repères pour poursuivre leur combat » s'est-il adressé aux jeunes Kabyles qui l'entourent.
Des militants du MAK dont Chérifi Ahcene, Mohand Ouamar Hachim et Hocine Azem ont dans leur prise de parole informé l'assistance que le GPK avait déposé une plainte auprès de la Coure pénale internationate (CPI) pour crimes contre l'humanité à l'encontre de la jeunesse kabyle lors du printemps noir : « Le GPK entend poursuivre les criminels de la Kabylie devant les instances internationales en usant du droit international contre l'Etat algérien qui refuse de rendre justice et garantie l'impunité aux criminels par droit interne et autres procédures bureaucratiques. »
L'assistance s'est ensuite rendue au Mémorial des Martyrs Noir des villages de la commune de Ouadhias, un lieu érigé pour entretenir la mémoire collective de la région. Sur place les prises de parole se sont vite convergé sur le rejet des échéances électorales du 10 mai 2012, qualifiées par les uns d'« instrumentalisation du sang des martyrs par tous ceux qui y participent ». Le MAK a tenu à rendre hommage « à toutes les victimes du pouvoir algérien de 1962 jusqu'aujourd'hui » en appelant publiquement à une « large mobilisation de la Kabylie au rejet de toutes échéances électorales jusqu’au référendum d'auto-détermination du peuple kabyle. »
La commémoration s'est achevée par le partage d'un couscous entre les citoyens présents sous les chansons engagées de Matoub, Ferhat, etc.
ib/bbi
SIWEL 271525 AVR 12