Dans ce contexte, post « vendredi 13 », Ivan Rioufol cite le Président du Gouvernement provisoire kabyle, Ferhat Mehenni, ainsi que l’écrivain algérien, Kamel Daoud et fustige « l’Occident somnolent et narcissique qui ne semble pas prendre conscience de ce qui se noue en terres d’islam » alors que « La radicalisation qui parcourt le monde musulman devrait mettre l’Europe sur ses gardes, puisqu’elle est devenue la cible d’un désir de conquête qui ne se dissimule plus »
Pour étayer ses propos, l’auteur s’appuie sur la « radicalisation qui parcourt le monde musulman » et cite notamment le dernier livre du président du Gouvernement provisoire kabyle, « Noel en otage » ; un livre dans lequel Ferhat Mehenni, à travers son expérience d’otage de l’Airbus d’Air France détourné le 24 décembre 1994 par des membres du GIA, « pose la question de la complicité du régime algérien avec les terroristes islamistes ». Le leader kabyle « ayant eu la conviction, comme témoin, d’un coup monté par les services algériens, s’étonne de n’avoir jamais été entendu par un juge d’instruction, et du classement sans suite de ce dossier par la justice française ».
L’auteur cite également l’écrivain algérien, Kamel Daoud, qui « s’alarmait récemment dans Le Monde de voir, en Algérie, les islamistes bénéficier d’une "immunité incroyable" : "On ne peut les attaquer en justice. Même quand on les poursuit, il n’y a pas de suites. C’est d’autant plus inquiétant que cela se fait sur fond de profond basculement de la société algérienne vers un conservatisme religieux de plus en plus affirmé »
Dans ces conditions il est légitime, pour ne pas dire vital, pour le peuple français de savoir jusqu’à quand et jusqu’où leurs dirigeant vont-ils … « Poursuivre dans ces compromissions avec l'islamisme ? »
Source : Le Blog d’Ivan Rioufol dans Le Figaro
Pour étayer ses propos, l’auteur s’appuie sur la « radicalisation qui parcourt le monde musulman » et cite notamment le dernier livre du président du Gouvernement provisoire kabyle, « Noel en otage » ; un livre dans lequel Ferhat Mehenni, à travers son expérience d’otage de l’Airbus d’Air France détourné le 24 décembre 1994 par des membres du GIA, « pose la question de la complicité du régime algérien avec les terroristes islamistes ». Le leader kabyle « ayant eu la conviction, comme témoin, d’un coup monté par les services algériens, s’étonne de n’avoir jamais été entendu par un juge d’instruction, et du classement sans suite de ce dossier par la justice française ».
L’auteur cite également l’écrivain algérien, Kamel Daoud, qui « s’alarmait récemment dans Le Monde de voir, en Algérie, les islamistes bénéficier d’une "immunité incroyable" : "On ne peut les attaquer en justice. Même quand on les poursuit, il n’y a pas de suites. C’est d’autant plus inquiétant que cela se fait sur fond de profond basculement de la société algérienne vers un conservatisme religieux de plus en plus affirmé »
Dans ces conditions il est légitime, pour ne pas dire vital, pour le peuple français de savoir jusqu’à quand et jusqu’où leurs dirigeant vont-ils … « Poursuivre dans ces compromissions avec l'islamisme ? »
Source : Le Blog d’Ivan Rioufol dans Le Figaro