Comme on peut le constater sur cette photo, on voit bien que "les carrées du MAK étaient désertés par les manifestants" comme le stipule le mensonge éhonté du correspondant du journal El Watan.(Photo/Siwel)
Ces mobilisations historiques qui ont conforté et consolidé le MAK en tant que première force politique de la Kabylie, en étant la seule organisation à pouvoir réussir simultanément autant de manifestations aussi bien en Kabylie que dans la diaspora, est minimisée voire ignorée par les journaux algériens ,y compris ceux dits libres.
Rien de surprenant de la part d’une presse aux ordres. La pratique délibérée de la désinformation discrédite ce métier noble qu’est le journalisme.
La presse tente vainement de délégitimer notre mouvement. Boycotté durant toute l’année, le MAK n’est cité que pour être diabolisé ou minimiser ses exploits et son ancrage dans la société.
Que la presse le veuille ou non, c’est le MAK qui a créé l’événement en ce 20 avril 2013 et les années précédentes. Outre la formidable mobilisation qui a confirmé sa force, ce sont les militants et les invités du MAK qui ont été interpellés par la police dans les trois grandes villes de la Kabylie. Cela dénote à quel point le régime est pris de panique devant la déferlante MAK.
A lire la presse algérienne, on aurait cru que les marches du MAK ont eu lieu sans mots d’ordre ni prise de parole. L’hommage rendu par les manifestants au président de l’Anavad, Ferhat Mehenni, à travers un poster géant qui a plané dans les trois manifestations de Vgayet, Tuvirett et Tizi-Wezzu a été complètement tu.
La presse a même fait passer sous silence les déclarations de Nordine Ait Hamouda, ancien dirigeant du RCD, qui a scandé : Kabylie autonome. En effet, il a affirmé que les revendications du MAK sont les siennes depuis 1980.
Si le correspondant d’El watan à Tizi Ouzou n’a rien trouvé de mieux à écrire que de dire que les carrés du MAK étaient désertés par les manifestants, le racisme antikabyle d’Ennahar, a été carrément dans la manipulation et la diffamation en abusant de l’hospitalité de la mère du président de l’Anavad, Nna Wiza, pour lui faire endosser des mensonges qui confirment le caractère infâme, attentatoire et diffamatoire du torchon de Anis Rahmani.
Les journaux peuvent spéculer sur les chiffres et minimiser l’importance de la mobilisation du MAK. Mais les vidéos et les photos sont le meilleur démenti à cette presse asservie.
Les militants et les dirigeants du MAK, n’attendent rien de la presse algérienne. Ce qu’elle rapporte est sans importance. La vraie légitimité de leur mouvement est tirée du terrain. Le MAK avance à grands pas. L’aboutissement est tout près.
Kabylie le 21/04/2013
Bouaziz Ait Chebib, président du MAK
SIWEL 21 1444 AVR 13
Rien de surprenant de la part d’une presse aux ordres. La pratique délibérée de la désinformation discrédite ce métier noble qu’est le journalisme.
La presse tente vainement de délégitimer notre mouvement. Boycotté durant toute l’année, le MAK n’est cité que pour être diabolisé ou minimiser ses exploits et son ancrage dans la société.
Que la presse le veuille ou non, c’est le MAK qui a créé l’événement en ce 20 avril 2013 et les années précédentes. Outre la formidable mobilisation qui a confirmé sa force, ce sont les militants et les invités du MAK qui ont été interpellés par la police dans les trois grandes villes de la Kabylie. Cela dénote à quel point le régime est pris de panique devant la déferlante MAK.
A lire la presse algérienne, on aurait cru que les marches du MAK ont eu lieu sans mots d’ordre ni prise de parole. L’hommage rendu par les manifestants au président de l’Anavad, Ferhat Mehenni, à travers un poster géant qui a plané dans les trois manifestations de Vgayet, Tuvirett et Tizi-Wezzu a été complètement tu.
La presse a même fait passer sous silence les déclarations de Nordine Ait Hamouda, ancien dirigeant du RCD, qui a scandé : Kabylie autonome. En effet, il a affirmé que les revendications du MAK sont les siennes depuis 1980.
Si le correspondant d’El watan à Tizi Ouzou n’a rien trouvé de mieux à écrire que de dire que les carrés du MAK étaient désertés par les manifestants, le racisme antikabyle d’Ennahar, a été carrément dans la manipulation et la diffamation en abusant de l’hospitalité de la mère du président de l’Anavad, Nna Wiza, pour lui faire endosser des mensonges qui confirment le caractère infâme, attentatoire et diffamatoire du torchon de Anis Rahmani.
Les journaux peuvent spéculer sur les chiffres et minimiser l’importance de la mobilisation du MAK. Mais les vidéos et les photos sont le meilleur démenti à cette presse asservie.
Les militants et les dirigeants du MAK, n’attendent rien de la presse algérienne. Ce qu’elle rapporte est sans importance. La vraie légitimité de leur mouvement est tirée du terrain. Le MAK avance à grands pas. L’aboutissement est tout près.
Kabylie le 21/04/2013
Bouaziz Ait Chebib, président du MAK
SIWEL 21 1444 AVR 13