Les militants du MAK se font un point d'honneur à combattre l'oubli "organisé" des victimes du printemps noir. Si le pouvoir colonial algérien a tout intérêt à faire oublier les 128 victimes de la gendarmerie algérienne, il ne semble pas être le seul à tenter de faire oublier la tragédie du printemps noir.
En effet, depuis quelques années, chaque 20 avril, à l'opposé du MAK qui insiste beaucoup sur la sauvegarde de la mémoire des victimes du printemps noir, les acteurs politiques algériens en oeuvre en Kabylie ne parlent que du 20 avril 1980 et ostracisent totalement le 20 avril 2001.
Les militants du MAK eux, au contraire, sillonnent la Kabylie pour honorer la mémoire des victimes de 2001. Ils vont de village en village apporter soutien et réconfort aux familles des victimes de 2001 car ce n'est qu'avec le MAK que la mémoire des victimes de la gendarmerie algérienne peuvent être évoquées et honorées. Les kabyles ne s'y trompent d'ailleurs pasLe souvenir des martyrs de 2001 n'est entretenu que par le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie.
jy/zp,
SIWEL 281623 AVR 16
En effet, depuis quelques années, chaque 20 avril, à l'opposé du MAK qui insiste beaucoup sur la sauvegarde de la mémoire des victimes du printemps noir, les acteurs politiques algériens en oeuvre en Kabylie ne parlent que du 20 avril 1980 et ostracisent totalement le 20 avril 2001.
Les militants du MAK eux, au contraire, sillonnent la Kabylie pour honorer la mémoire des victimes de 2001. Ils vont de village en village apporter soutien et réconfort aux familles des victimes de 2001 car ce n'est qu'avec le MAK que la mémoire des victimes de la gendarmerie algérienne peuvent être évoquées et honorées. Les kabyles ne s'y trompent d'ailleurs pasLe souvenir des martyrs de 2001 n'est entretenu que par le Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie.
jy/zp,
SIWEL 281623 AVR 16