Hocine Aït Ahmed président du FFS (Photo SIWEL)
Aït Ahmed a affirmé que l'Algérie ne fait pas exception des cycles des révoltes qui secouent les pays d'Afrique du Nord et du Moyen-Orient, mais que « cela ne signifie pas copier mécaniquement ce qui se passe chez les voisins ».
« Nous devons être capables de donner le meilleur de nous-mêmes, non dans des actes faussement héroïques et spectaculaires, mais dans la discipline que nous saurons nous imposer. Une discipline qui nous forcera à nous dépasser quotidiennement pour construire », a-t-il souligné.
S'attaquant aux responsables de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), Hocine Aït Ahmed a affirmé que « là où certains voudraient que l’on participe à leur œuvre de destruction de ce bien, l’Algérie, dont l’Histoire et les générations futures témoigneront combien nous avons œuvré à la préservation ».
Le président du FFS s'en tient à une autre stratégie de provoquer le changement en dehors des moyens utilisés par la CNCD. « Je ne soulignerai jamais assez, que le génie populaire algérien, inspiré, non par la peur comme veulent le faire croire certains, mais par la sagesse l’éternel esprit de résistance, saura inventer les voies et moyens d’un changement pacifique », a déclaré M. Aït Ahmed, qui insiste sur l'organisation interne du FFS tout en annonçant de rendre public prochainement un texte sur la crise algérienne. Il a chargé la direction du parti de prendre un certain nombre de mesures allant dans le sens de la mise en place des outils qui ont pour double mission d’« accélérer le processus d’ouverture sur la société et d’amorcer le processus d’évaluation ».
« Nous avons déterminé quatre chantiers à ouvrir en priorité : les jeunes, les travailleurs, les femmes ainsi qu’une feuille de route d’étape de restructuration du parti », a rappelé Aït Ahmed.
ysn
SIWEL 181510 MAR 11
« Nous devons être capables de donner le meilleur de nous-mêmes, non dans des actes faussement héroïques et spectaculaires, mais dans la discipline que nous saurons nous imposer. Une discipline qui nous forcera à nous dépasser quotidiennement pour construire », a-t-il souligné.
S'attaquant aux responsables de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), Hocine Aït Ahmed a affirmé que « là où certains voudraient que l’on participe à leur œuvre de destruction de ce bien, l’Algérie, dont l’Histoire et les générations futures témoigneront combien nous avons œuvré à la préservation ».
Le président du FFS s'en tient à une autre stratégie de provoquer le changement en dehors des moyens utilisés par la CNCD. « Je ne soulignerai jamais assez, que le génie populaire algérien, inspiré, non par la peur comme veulent le faire croire certains, mais par la sagesse l’éternel esprit de résistance, saura inventer les voies et moyens d’un changement pacifique », a déclaré M. Aït Ahmed, qui insiste sur l'organisation interne du FFS tout en annonçant de rendre public prochainement un texte sur la crise algérienne. Il a chargé la direction du parti de prendre un certain nombre de mesures allant dans le sens de la mise en place des outils qui ont pour double mission d’« accélérer le processus d’ouverture sur la société et d’amorcer le processus d’évaluation ».
« Nous avons déterminé quatre chantiers à ouvrir en priorité : les jeunes, les travailleurs, les femmes ainsi qu’une feuille de route d’étape de restructuration du parti », a rappelé Aït Ahmed.
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SIWEL 181510 MAR 11