Bouaziz Ait-Chebib : "Les citadelles millénaires des mozabites sont assiégées par des hordes de Châambas assistées par les forces de police algérienne auxquelles viennent de se rajouter les forces de la gendarmerie algérienne" (PH/DR)
AFRANIMAN I TMURT N YIQVAYLIYEN
MOUVEMENT POUR L’AUTODÉTERMINATION DE LA KABYLIE
Guerre conte le peuple mozabite : le MAK interpelle la communauté internationale
La guerre contre le peuple mozabite est déclarée. Les citadelles millénaires des mozabites sont assiégées par des hordes de Châambas assistées par les forces de police algérienne auxquelles viennent de se rajouter les forces de la gendarmerie algérienne. Leurs maisons et leurs commerces sont incendiés. Les populations civiles sont sauvagement agressées et quand elles tentent de se défendre, les brigades de la répressions algérienne s’interposent pour protéger les agresseurs.
Le pouvoir algérien est responsable d’un crime contre l’humanité dont il doit répondre devant les instances internationales. Les organisations internationales des droits de l’homme doivent se saisir de cette grave agression, commis par un Etat, contre une population civile, sous peine d’être un jour jugées pour non assistance à personnes en danger.
Le MAK a appris avec beaucoup de tristesse et de colère le lâche assassinat du citoyen Mozabite KEBAILI BELHADJ, un homme de 39 qui laisse trois enfants derrière lui. C’est avec un sabre qu’il a été exécuté par les Chââmbas qui assiègent depuis plusieurs jours les quartiers mozabites sous la haute protection de la police nationale algérienne.
Le MAK qui condamne avec force ce lâche assassinat dont le pouvoir est le premier artisan à travers sa politique raciste, présente à la famille de la victime ainsi qu’à tout le peuple mozabite, ses sincères condoléance et les assure de son soutien indéfectible.
Le MAK interpelle pour la énième fois la communauté internationale afin d'intervenir très rapidement pour mettre fin à cette guerre contre le peuple mozabite avant qu’un génocide ne soit perpétré. Tout silence face à une telle situation de détresse humaine relève de la complicité. Le gouvernement algérien doit être freiné dans sa folie meurtrière et jugé pour crime contre l’humanité.
Kabylie, le 19 janvier 2014
Bouaziz Ait Chebib, président
MOUVEMENT POUR L’AUTODÉTERMINATION DE LA KABYLIE
Guerre conte le peuple mozabite : le MAK interpelle la communauté internationale
La guerre contre le peuple mozabite est déclarée. Les citadelles millénaires des mozabites sont assiégées par des hordes de Châambas assistées par les forces de police algérienne auxquelles viennent de se rajouter les forces de la gendarmerie algérienne. Leurs maisons et leurs commerces sont incendiés. Les populations civiles sont sauvagement agressées et quand elles tentent de se défendre, les brigades de la répressions algérienne s’interposent pour protéger les agresseurs.
Le pouvoir algérien est responsable d’un crime contre l’humanité dont il doit répondre devant les instances internationales. Les organisations internationales des droits de l’homme doivent se saisir de cette grave agression, commis par un Etat, contre une population civile, sous peine d’être un jour jugées pour non assistance à personnes en danger.
Le MAK a appris avec beaucoup de tristesse et de colère le lâche assassinat du citoyen Mozabite KEBAILI BELHADJ, un homme de 39 qui laisse trois enfants derrière lui. C’est avec un sabre qu’il a été exécuté par les Chââmbas qui assiègent depuis plusieurs jours les quartiers mozabites sous la haute protection de la police nationale algérienne.
Le MAK qui condamne avec force ce lâche assassinat dont le pouvoir est le premier artisan à travers sa politique raciste, présente à la famille de la victime ainsi qu’à tout le peuple mozabite, ses sincères condoléance et les assure de son soutien indéfectible.
Le MAK interpelle pour la énième fois la communauté internationale afin d'intervenir très rapidement pour mettre fin à cette guerre contre le peuple mozabite avant qu’un génocide ne soit perpétré. Tout silence face à une telle situation de détresse humaine relève de la complicité. Le gouvernement algérien doit être freiné dans sa folie meurtrière et jugé pour crime contre l’humanité.
Kabylie, le 19 janvier 2014
Bouaziz Ait Chebib, président