Venus de plusieurs lycée de la préfecture (daira ) de Michelet , les lycéens se sont rassemblés au centre de la ville pour exiger des autorités concernées la prise en charge de leur revendications légitimes
Outre les conditions socio-pédagogiques qui ont été dénoncées, les manifestants ont saisi l’occasion pour condamner la politique éducative de l’Algérie qui a transformé l’école en une entreprise idéologique visant à dépersonnaliser les peuples amazighs au lieu d’en faire un lieu de rayonnement scientifique.
Les slogans scandés à l’instar « Y en a marre d’el Orouba », « Imazighen », « on veut nos droit » ... témoignent de la maturité politique des lycéens kabyles qui exigent un enseignement de qualité. En effet, sans une école performante aucun développement n’est possible.
Notons que seul le drapeau amazigh a été brandi durant cette manifestation qui s’est déroulée dans un calme total et ce en l’absence des services de « sécurité » algériens.
cdb
Siwel
Outre les conditions socio-pédagogiques qui ont été dénoncées, les manifestants ont saisi l’occasion pour condamner la politique éducative de l’Algérie qui a transformé l’école en une entreprise idéologique visant à dépersonnaliser les peuples amazighs au lieu d’en faire un lieu de rayonnement scientifique.
Les slogans scandés à l’instar « Y en a marre d’el Orouba », « Imazighen », « on veut nos droit » ... témoignent de la maturité politique des lycéens kabyles qui exigent un enseignement de qualité. En effet, sans une école performante aucun développement n’est possible.
Notons que seul le drapeau amazigh a été brandi durant cette manifestation qui s’est déroulée dans un calme total et ce en l’absence des services de « sécurité » algériens.
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Poursuivi depuis 2 jours, Massinissa Aylimas vient d'être arrêté par les autorités coloniales (mis à jour)