Le militant des droits de l’homme, Kamel Eddine Fekhar, ici avec les militants mozabites venus le soutenir à la Cour de Ghardaïa, le jour de son faux procès en février 2011 (PH/DR)
L’appareil judiciaire à Ghardaia poursuit sans relâche sa guerre marathonienne acharnée et usante contre les militants des droits de l’homme. Après deux reports successifs, le tribunal de Ghardaia, le tribunal de Ghardaia, examinera le dimanche prochaine le 17/11/2013 l’affaire dans laquelle sont poursuivis 14 militants des droits de l’homme pour des accusations fomentés et graves, il est à rappeler que les activistes de droit de l’homme ont assisté le 26/03/2013 à un sit-in pacifique de solidarité avec les chômeurs et de soutien à leurs revendications légitimes qui coïncidé avec la célébration officielle d’une fête locale, la fête du tapis, et c’est a rappeler aussi que les participants à cet sit-in de solidarité ont subi toutes les affres de la répression policière, insultes racistes, coups et blessures, tortues et l’utilisation excessif de la violence sans justification et sans aucun avertissement au préalable, malgré le pacifisme de sit-in, comme le montre cette vidéo prise le 26/03/2013 à 08 heure 45 du matin : http://www.youtube.com/watch?v=pGUKP6RDFJM
Apres l’agression caractéristique et programmée contre les militants de droit de l’homme pour justifier leurs arrestation, les festivités de la fête du tapis se sont déroulées comme si de rien n’était, comme le montre cette vidéo prise vers les coups de 10h du même jour et au même endroit : http://www.youtube.com/watch?v=YRsjas-f8xM
Malgré toute ces violations des droits et libertés et cette violence gratuite et extrême contre des militants pacifiques, ces mêmes militants sont poursuivaient et accusé de :
• Délit d’opposition par agression et attroupement à des actions ordonné et autorisé par les autorités publiques
• Délit de destruction des biens appartenant à autrui.
• Délit d’outrage envers un corps constitués.
• Délit de mutilation et de profanation du drapeau national.
• Infraction d’endommagement du bien mobilier appartenant à autrui.
Comme d’habitude ces accusations collectives et graves ne sont fondées sur aucun alibi tangible, sauf les procès-verbaux de la police judiciaires que prépare son officier «Hami Rachid» l’officier qui s’est spécialisé dans le dossier des défenseurs des droits de l’homme en les surveillants de près et connu pour ses tentatives répétées pour leurs coller des accusations graves et fomentées. A savoir que les activistes en droit humain à Ghardaïa depuis les événements de Ghardaia 2004, sont victimes d’infinies poursuites judiciaires et n’en finissent avec un procès que pour en commencer un autre.
Ce qui marque le procès en cours c’est le silence suspecte et complice et la non-réponse du procureur aux plaintes déposées avec certificats médicales par les activistes en droit humain qui étaient victimes d’arrestations arbitraires racistes et sélectives avec coups et blessures et même torture et insultes par propos racistes et abus de pouvoir par la police de Ghardaïa, , ce qui confirme l'intransigeance et le mépris total du rôle préliminaire de l’appareil judiciaire qui est la recherche de la vérité, moi-même j’étais victime d’une agression lâche qui m’a fait perdre connaissance et je ne me suis réveillé qu’ une heure après au commissariat.
Et comme ça les activistes des droits humains se sont transformer de victimes de crimes contre l’humanité punis par les lois internationales, en criminels poursuivis d’accusations graves dont le totalité des peines en cas de condamnation, est de plusieurs années de prison ferme, tout cela sous les ordres du pouvoir exécutif et la complicité de la police et de la justice.
En cette occasion nous lançons un appel de solidarité aux citoyens, syndicalistes autonomes, chômeurs, journalistes et aux défenseurs des droits de l’homme d’assister massivement au procès qui se déroulera le dimanche 17 novembre 2013 à Ghardaïa pour voir de près la réalité de la situation des droits de l’homme en Algérie, et pour dévoiler et révéler la guerre acharnée et atroce que subissent les défenseurs des droits de l’homme en Algérie d’une façon générale et à Ghardaia en particulier.
Ghardaia le 10 novembre 2013
Dr Kameleddine Fekhar,
Journaliste indépendant et Militant pour la démocratie,
Activiste pour la défense des droits humains appartenant à la minorité Mozabite victime d’ethnocide
Apres l’agression caractéristique et programmée contre les militants de droit de l’homme pour justifier leurs arrestation, les festivités de la fête du tapis se sont déroulées comme si de rien n’était, comme le montre cette vidéo prise vers les coups de 10h du même jour et au même endroit : http://www.youtube.com/watch?v=YRsjas-f8xM
Malgré toute ces violations des droits et libertés et cette violence gratuite et extrême contre des militants pacifiques, ces mêmes militants sont poursuivaient et accusé de :
• Délit d’opposition par agression et attroupement à des actions ordonné et autorisé par les autorités publiques
• Délit de destruction des biens appartenant à autrui.
• Délit d’outrage envers un corps constitués.
• Délit de mutilation et de profanation du drapeau national.
• Infraction d’endommagement du bien mobilier appartenant à autrui.
Comme d’habitude ces accusations collectives et graves ne sont fondées sur aucun alibi tangible, sauf les procès-verbaux de la police judiciaires que prépare son officier «Hami Rachid» l’officier qui s’est spécialisé dans le dossier des défenseurs des droits de l’homme en les surveillants de près et connu pour ses tentatives répétées pour leurs coller des accusations graves et fomentées. A savoir que les activistes en droit humain à Ghardaïa depuis les événements de Ghardaia 2004, sont victimes d’infinies poursuites judiciaires et n’en finissent avec un procès que pour en commencer un autre.
Ce qui marque le procès en cours c’est le silence suspecte et complice et la non-réponse du procureur aux plaintes déposées avec certificats médicales par les activistes en droit humain qui étaient victimes d’arrestations arbitraires racistes et sélectives avec coups et blessures et même torture et insultes par propos racistes et abus de pouvoir par la police de Ghardaïa, , ce qui confirme l'intransigeance et le mépris total du rôle préliminaire de l’appareil judiciaire qui est la recherche de la vérité, moi-même j’étais victime d’une agression lâche qui m’a fait perdre connaissance et je ne me suis réveillé qu’ une heure après au commissariat.
Et comme ça les activistes des droits humains se sont transformer de victimes de crimes contre l’humanité punis par les lois internationales, en criminels poursuivis d’accusations graves dont le totalité des peines en cas de condamnation, est de plusieurs années de prison ferme, tout cela sous les ordres du pouvoir exécutif et la complicité de la police et de la justice.
En cette occasion nous lançons un appel de solidarité aux citoyens, syndicalistes autonomes, chômeurs, journalistes et aux défenseurs des droits de l’homme d’assister massivement au procès qui se déroulera le dimanche 17 novembre 2013 à Ghardaïa pour voir de près la réalité de la situation des droits de l’homme en Algérie, et pour dévoiler et révéler la guerre acharnée et atroce que subissent les défenseurs des droits de l’homme en Algérie d’une façon générale et à Ghardaia en particulier.
Ghardaia le 10 novembre 2013
Dr Kameleddine Fekhar,
Journaliste indépendant et Militant pour la démocratie,
Activiste pour la défense des droits humains appartenant à la minorité Mozabite victime d’ethnocide