Bâtiment de l'IMA à Paris (PHOTO : DR)
« Auparavant, le musée était fondé sur l'art de l'islam, apparu au VIIe siècle, et couvrait une aire géographique très vaste allant jusqu'à l'Inde », a rappellé Marie Foissy, conservatrice en chef du patrimoine, et chef du projet de refonte du musée depuis janvier 2009. A propos de la refonte du musée de l'IMA, elle dira : « Nous avons donc choisi de nous recentrer sur l'aire des vingt-deux pays cofondateurs de l'IMA avec la France, qui sont les membres de la Ligue Arabe ».
Si pour la chef du projet de refonte « il y a dans cette aire géographique une diversité ethno-linguistique (berbères, kurdes, araméens) et confessionnelle (chrétiens, juifs, musulmans et traditions ancestrales) », elle argue néanmoins que cette diversité ethno-linguistique « enrichit le sentiment d'appartenance à une culture marquée avant tout par une langue partagée, l'arabe, et un héritage culturel commun. »
cc/bbi
SIWEL 191138 FEV 12
Si pour la chef du projet de refonte « il y a dans cette aire géographique une diversité ethno-linguistique (berbères, kurdes, araméens) et confessionnelle (chrétiens, juifs, musulmans et traditions ancestrales) », elle argue néanmoins que cette diversité ethno-linguistique « enrichit le sentiment d'appartenance à une culture marquée avant tout par une langue partagée, l'arabe, et un héritage culturel commun. »
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