De terribles et meurtrières attaques ont été perpétrées à Paris par des terroristes islamistes au cours de
la soirée du 13 novembre 2015. Cette horrible et lâche agression commise sur des lieux publics avait
visiblement pour but de terroriser les Français en faisant le maximum de victimes innocentes. L’acte a
été revendiqué par «l’Etat islamique», un groupe terroriste qui a fait montre de sa capacité
destructrice notamment au Moyen-Orient.
Les membres du Congrès Mondial Amazigh (CMA) présentent leurs plus sincères condoléances aux
familles des victimes et leur expriment leur solidarité et leur sympathie.
Le CMA constate qu’après les attentats criminels du mois de janvier dernier à Paris, les mesures de
lutte contre le terrorisme islamiste adoptées par le gouvernement français n’étaient pas à la hauteur du
défi. Les autorités françaises n’ont pas pris la bonne mesure de l’ampleur de la menace, de la
détermination des mouvements terroristes islamistes et de leur projet totalitaire et criminel.
Par ailleurs, en continuant à expliquer, voire même à justifier la montée de l’islamisme par l’analyse
marxiste, une partie de l’intelligentsia française montre qu’elle n’a toujours pas compris que
l’islamisme est un projet politique contraire aux valeurs d’égalité, de liberté et au progrès humain. Ce
faisant, elle empêche la société de faire bloc contre le phénomène islamiste et de se donner les
moyens de le combattre efficacement. Pendant ce temps, profitant des libertés individuelles et
collectives, les activistes islamistes continuent de donner libre cours à leur délire haineux et
obscurantiste au vu et au su et en toute impunité. En France, des «écoles» clandestines « enseignent»
l’islam radical sans être inquiétées. Toute critique de cette religion est étouffée par la peur d’être
accusé d’«islamophobie». Pour de petits bénéfices électoraux, des élus locaux tiennent des discours
communautaristes et font reculer la laicité, particulièrement dans les quartiers populaires.
Au plan international, pour des intérêts économiques, la France mais aussi d’autres Etats occidentaux,
entretient d’excellentes relations avec des Etats théocratiques totalitaires (notamment l’Arabie
Saoudite et le Qatar) qui soutiennent ouvertement les mouvements fondamentalistes islamistes
internationaux, y compris les mouvements armés. Le gouvernement islamiste Turc soutient le groupe
Daesh en Irak et en Syrie et bombarde les combattants Kurdes qui sont pourtant les seuls à mener la
guerre au sol contre Daesh. Et aucun Etat démocratique ne réagit. Nous sommes en pleine hypocrisie
dont les conséquences sont malheureusement dramatiques.
Les Amazighs qui sont confrontés aux violences islamistes particulièrement au cours des dernières
décennies et qui payent chèrement leur résistance à l’araboislamisation forcée, ont à maintes reprises
alerté l’opinion internationale sur les dangers mortels de cette idéologie mais en vain. Aujourd’hui, la
France et le monde occidental n’ont pas d’autre choix que de faire preuve de la plus grande fermeté
aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de leurs frontières. Mais la réponse ne peut être limitée au seul
aspect sécuritaire. La France devra faire sa révolution culturelle et politique aussi bien au niveau de
l’Etat que de la société afin de faire face ensemble, au projet islamiste.
Paris, le 15/11/2015
Le Bureau du CMA.
la soirée du 13 novembre 2015. Cette horrible et lâche agression commise sur des lieux publics avait
visiblement pour but de terroriser les Français en faisant le maximum de victimes innocentes. L’acte a
été revendiqué par «l’Etat islamique», un groupe terroriste qui a fait montre de sa capacité
destructrice notamment au Moyen-Orient.
Les membres du Congrès Mondial Amazigh (CMA) présentent leurs plus sincères condoléances aux
familles des victimes et leur expriment leur solidarité et leur sympathie.
Le CMA constate qu’après les attentats criminels du mois de janvier dernier à Paris, les mesures de
lutte contre le terrorisme islamiste adoptées par le gouvernement français n’étaient pas à la hauteur du
défi. Les autorités françaises n’ont pas pris la bonne mesure de l’ampleur de la menace, de la
détermination des mouvements terroristes islamistes et de leur projet totalitaire et criminel.
Par ailleurs, en continuant à expliquer, voire même à justifier la montée de l’islamisme par l’analyse
marxiste, une partie de l’intelligentsia française montre qu’elle n’a toujours pas compris que
l’islamisme est un projet politique contraire aux valeurs d’égalité, de liberté et au progrès humain. Ce
faisant, elle empêche la société de faire bloc contre le phénomène islamiste et de se donner les
moyens de le combattre efficacement. Pendant ce temps, profitant des libertés individuelles et
collectives, les activistes islamistes continuent de donner libre cours à leur délire haineux et
obscurantiste au vu et au su et en toute impunité. En France, des «écoles» clandestines « enseignent»
l’islam radical sans être inquiétées. Toute critique de cette religion est étouffée par la peur d’être
accusé d’«islamophobie». Pour de petits bénéfices électoraux, des élus locaux tiennent des discours
communautaristes et font reculer la laicité, particulièrement dans les quartiers populaires.
Au plan international, pour des intérêts économiques, la France mais aussi d’autres Etats occidentaux,
entretient d’excellentes relations avec des Etats théocratiques totalitaires (notamment l’Arabie
Saoudite et le Qatar) qui soutiennent ouvertement les mouvements fondamentalistes islamistes
internationaux, y compris les mouvements armés. Le gouvernement islamiste Turc soutient le groupe
Daesh en Irak et en Syrie et bombarde les combattants Kurdes qui sont pourtant les seuls à mener la
guerre au sol contre Daesh. Et aucun Etat démocratique ne réagit. Nous sommes en pleine hypocrisie
dont les conséquences sont malheureusement dramatiques.
Les Amazighs qui sont confrontés aux violences islamistes particulièrement au cours des dernières
décennies et qui payent chèrement leur résistance à l’araboislamisation forcée, ont à maintes reprises
alerté l’opinion internationale sur les dangers mortels de cette idéologie mais en vain. Aujourd’hui, la
France et le monde occidental n’ont pas d’autre choix que de faire preuve de la plus grande fermeté
aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de leurs frontières. Mais la réponse ne peut être limitée au seul
aspect sécuritaire. La France devra faire sa révolution culturelle et politique aussi bien au niveau de
l’Etat que de la société afin de faire face ensemble, au projet islamiste.
Paris, le 15/11/2015
Le Bureau du CMA.