Le président du GPK, Ferhat Mehenni (Crédits photo SIWEL)
« Les éléments d’information dont nous disposons permettent d’affirmer que ce sont des agents du Département du renseignement et de la sécurité qui ont agi sous l’autorité d’un général algérien, officiellement en retraite depuis l’exécution de la sale besogne, mais qui, en réalité, est toujours actif », a affirmé à Siwel M. Mehenni.
D’ailleurs, rappelle-t-il, « le même général était le donneur d'ordre dans une opération qui s'est soldée par une tentative d’assassinat sur le président du MAK en 2008 ».
Il s'est élevé contre l'occultation de la piste politique dans cet assassinat dont l’enquête est close sans succès depuis plus de six mois. « Cette décision des autorités françaises en charge de l’enquête était prévisible dans la mesure où des intérêts d’Etats étaient en jeu. Elle (l'enquête Ndlr) a délibérément ignoré tous les indices probants devant conduire aux Services algériens dont la culpabilité est notoirement avérée dans de nombreux cas de liquidations physiques d’opposants politiques du régime. »
Pour le président du GPK, « cette posture de refus à faire la lumière sur ce crime fait peser sur la France officielle des suspicions légitimes de complicité avec le régime assassin de Bouteflika et de ses généraux ».
Comme l’affaire Mécili, a-t-il averti, « l’affaire Ameziane Mehenni continuera de donner du fil à retordre à tous ceux qui agissent pour l’impunité des assassins ».
uz
SIWEL 170700 JUIN 11
D’ailleurs, rappelle-t-il, « le même général était le donneur d'ordre dans une opération qui s'est soldée par une tentative d’assassinat sur le président du MAK en 2008 ».
Il s'est élevé contre l'occultation de la piste politique dans cet assassinat dont l’enquête est close sans succès depuis plus de six mois. « Cette décision des autorités françaises en charge de l’enquête était prévisible dans la mesure où des intérêts d’Etats étaient en jeu. Elle (l'enquête Ndlr) a délibérément ignoré tous les indices probants devant conduire aux Services algériens dont la culpabilité est notoirement avérée dans de nombreux cas de liquidations physiques d’opposants politiques du régime. »
Pour le président du GPK, « cette posture de refus à faire la lumière sur ce crime fait peser sur la France officielle des suspicions légitimes de complicité avec le régime assassin de Bouteflika et de ses généraux ».
Comme l’affaire Mécili, a-t-il averti, « l’affaire Ameziane Mehenni continuera de donner du fil à retordre à tous ceux qui agissent pour l’impunité des assassins ».
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SIWEL 170700 JUIN 11