Traduction libre en français de l'article rédigé en anglais par l'agence de presse "Israel Today", fondée en 1978 et publiant un magazine mensuel disponible en allemand, anglais, japonais et néerlandais :
Le président du Gouvernement provisoire kabyle en exil d'une petite région située sur la rive nord de l'Algérie était en Israël la semaine dernière, et a exprimé l'espoir à la fois pour l'indépendance de sa nation et son alliance avec l'Etat juif.
La région connue sous le nom de "Kabylie" était une nation indépendante durant les 500 dernières années, mais elle fut rattachée de force pour faire partie de l'Algérie durant la colonisation française. Cela en dépit du fait que les Kabyles ne soient pas des Arabes, comme la plupart des autres Algériens (ils sont Berbères), et ont une culture et une langue bien distinctes.
Ces différences culturelles ont été un point de discorde durant plus de 100 ans. Dans les années 1990, les forces gouvernementales et les islamistes radicaux avaient commencé à attaquer la Kabylie, et quelques années plus tard, le gouvernement algérien a officiellement interdit la culture et la langue kabyles.
Dans une interview avec le Jerusalem Post, Ferhat Mehenni, président du Gouvernement provisoire de la Kabylie, a comparé le sort de son peuple à celui des Juifs et d'Israël.
« Israël tout comme la Kabylie vivent dans un environnement hostile, les deux partagent la même voie, sauf qu'Israël a déjà son propre état, c'est la seule différence », a déclaré Ferhat Mehenni, qui avait fait récemment le tour des gouvernements occidentaux dans l'espoir de gagner leurs soutiens quant à l'indépendance de la Kabylie.
Ferhat Mehenni a déclaré que si la Kabylie obtiendrait son indépendance, l'une de ses premières actions serait de forger une relation durable avec Israël. Il a même fait remarquer que les Kabyles avaient applaudi la défaite militaire des armées arabes par Israël en 1967 et 1973.
wbw/bbi
SIWEL 301843 MAI 12
Le président du Gouvernement provisoire kabyle en exil d'une petite région située sur la rive nord de l'Algérie était en Israël la semaine dernière, et a exprimé l'espoir à la fois pour l'indépendance de sa nation et son alliance avec l'Etat juif.
La région connue sous le nom de "Kabylie" était une nation indépendante durant les 500 dernières années, mais elle fut rattachée de force pour faire partie de l'Algérie durant la colonisation française. Cela en dépit du fait que les Kabyles ne soient pas des Arabes, comme la plupart des autres Algériens (ils sont Berbères), et ont une culture et une langue bien distinctes.
Ces différences culturelles ont été un point de discorde durant plus de 100 ans. Dans les années 1990, les forces gouvernementales et les islamistes radicaux avaient commencé à attaquer la Kabylie, et quelques années plus tard, le gouvernement algérien a officiellement interdit la culture et la langue kabyles.
Dans une interview avec le Jerusalem Post, Ferhat Mehenni, président du Gouvernement provisoire de la Kabylie, a comparé le sort de son peuple à celui des Juifs et d'Israël.
« Israël tout comme la Kabylie vivent dans un environnement hostile, les deux partagent la même voie, sauf qu'Israël a déjà son propre état, c'est la seule différence », a déclaré Ferhat Mehenni, qui avait fait récemment le tour des gouvernements occidentaux dans l'espoir de gagner leurs soutiens quant à l'indépendance de la Kabylie.
Ferhat Mehenni a déclaré que si la Kabylie obtiendrait son indépendance, l'une de ses premières actions serait de forger une relation durable avec Israël. Il a même fait remarquer que les Kabyles avaient applaudi la défaite militaire des armées arabes par Israël en 1967 et 1973.
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SIWEL 301843 MAI 12