Ali Laskri, secrétaire général du FFS (PH/DR)
« Notre participation est d'abord tactique comme on l'a toujours dit. Nous ne voulons pas d'une singularisation de la Kabylie », a-t-il indiqué.
Est-ce que cela voudrait dire que le FFS prenne part aux législatifs rien que pour contrer la perspective autonomiste prônée par le MAK ? Notre interlocuteur affirme que bien qu'il n'ait rien contre l’existence du MAK, il avoue que « la principale raison qui a poussé le FFS à aller aux législatives reste de ne pas voir encore une fois la Kabylie distinguée du reste de l'Algérie ».
Il a avoué que « tous les membres de la direction savent que cette élection ne sera point transparente mais que les donnes ont changé depuis celle de 2007 ».
« Le parti a besoin aussi de se reconstruire. Si le FFS boycotte encore une fois, nous craignons pour sa survie », a-t-il dit.
La même source a par ailleurs démenti les rumeurs faisant état d'une probable décision de retrait du parti de la course aux législatives.
Le FFS qui a décidé de prendre part au scrutin du 10 mai trouve des difficultés à faire accepter à une grande partie de ses militants et à la population sa participation et est confronté à un grand mécontentement suite à l'introduction dans ses listes électorales des noms très contestés par sa base militante.
Que ce soit à Vgayet (Béjaia), Tuviret (Bouira) ou à Tizi-Ouzou et Alger, des militants n'ont pas admis le fait de donner à des personnes « détestées par la population ou qui n'ont rien à voir avec le parcours du parti » des positions importantes sur les listes. De nombreuses sections ont décidé de rejoindre les partisans du boycott incarné par d'anciens cadres évincés du parti.
st
SIWEL 031450 AVR 12
Est-ce que cela voudrait dire que le FFS prenne part aux législatifs rien que pour contrer la perspective autonomiste prônée par le MAK ? Notre interlocuteur affirme que bien qu'il n'ait rien contre l’existence du MAK, il avoue que « la principale raison qui a poussé le FFS à aller aux législatives reste de ne pas voir encore une fois la Kabylie distinguée du reste de l'Algérie ».
Il a avoué que « tous les membres de la direction savent que cette élection ne sera point transparente mais que les donnes ont changé depuis celle de 2007 ».
« Le parti a besoin aussi de se reconstruire. Si le FFS boycotte encore une fois, nous craignons pour sa survie », a-t-il dit.
La même source a par ailleurs démenti les rumeurs faisant état d'une probable décision de retrait du parti de la course aux législatives.
Le FFS qui a décidé de prendre part au scrutin du 10 mai trouve des difficultés à faire accepter à une grande partie de ses militants et à la population sa participation et est confronté à un grand mécontentement suite à l'introduction dans ses listes électorales des noms très contestés par sa base militante.
Que ce soit à Vgayet (Béjaia), Tuviret (Bouira) ou à Tizi-Ouzou et Alger, des militants n'ont pas admis le fait de donner à des personnes « détestées par la population ou qui n'ont rien à voir avec le parcours du parti » des positions importantes sur les listes. De nombreuses sections ont décidé de rejoindre les partisans du boycott incarné par d'anciens cadres évincés du parti.
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