A l’issue d’une réunion tenue hier, samedi, dans la région d’Aqvu, les frondeurs du FFS, dont Djamal Zenati et Mustapaha Bouhadef, ont adopté une stratégie autre que celle qui s’est limitée jusque-là à dénoncer par déclarations interposées ce qu’ils qualifient de « déviation du parti de sa ligne par l’actuelle direction ». Les deux anciens responsables au sein du parti ont été désignés porte-paroles du mouvement de contestation.
A l’issue de la réunion, il a été procédé à la mise en place de trois commissions : politique, logistique et finances et une commission information et communication.
Ce mouvement qui veut s’inscrire dans la continuité projette comme prochaine étape, cette dernière dépassant le cadre du parti, la préparation d’une conférence nationale pour la construction d’une alternative politique.
Dans cette perspective, les initiateurs comptent lancer un appel à toutes les forces patriotiques pour se rassembler autour de cet objectif.
L’ex-premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, ayant claqué la porte du parti avec 159 autres cadres et militants, ne fait pas partie du groupe des Zenati, Bouhadef, Mammeri, Kerboua etc. Tabbou, serait en passe de constituer un parti politique susurre t-on dans les milieux initiés.
On rappellera que le parti d’Aït Ahmed vit l’une des crises les plus aigues de son histoire ; une crise marquée par des défections en cascades. La dernière en date est celle de 25 militants dont 3 élus qui ont claqué la porte du parti, à Ouadhias, région qui est l’un des principaux fiefs du FFS de la région sud. Tout cela se passe au moment où le part d’Aït Ahmed se prépare à s’engager dans la course à l’élection locale du 29 novembre.
aai/tamurt
SIWEL 091520 SEP 12
A l’issue de la réunion, il a été procédé à la mise en place de trois commissions : politique, logistique et finances et une commission information et communication.
Ce mouvement qui veut s’inscrire dans la continuité projette comme prochaine étape, cette dernière dépassant le cadre du parti, la préparation d’une conférence nationale pour la construction d’une alternative politique.
Dans cette perspective, les initiateurs comptent lancer un appel à toutes les forces patriotiques pour se rassembler autour de cet objectif.
L’ex-premier secrétaire du FFS, Karim Tabbou, ayant claqué la porte du parti avec 159 autres cadres et militants, ne fait pas partie du groupe des Zenati, Bouhadef, Mammeri, Kerboua etc. Tabbou, serait en passe de constituer un parti politique susurre t-on dans les milieux initiés.
On rappellera que le parti d’Aït Ahmed vit l’une des crises les plus aigues de son histoire ; une crise marquée par des défections en cascades. La dernière en date est celle de 25 militants dont 3 élus qui ont claqué la porte du parti, à Ouadhias, région qui est l’un des principaux fiefs du FFS de la région sud. Tout cela se passe au moment où le part d’Aït Ahmed se prépare à s’engager dans la course à l’élection locale du 29 novembre.
aai/tamurt
SIWEL 091520 SEP 12