Ccix Muḥend a dit :
Daɛwessu n taddart tewɛar
tfellu am terṣasin
Alvaɛḍ yuγ-iţ di dderya
ictaq ad isdukel sin
Alvaɛḍ yuγ-iţ di tferka
ur yerwi tivexsisin
Wayeḍ yuγ-iţ di ṛṛay-is
ula d Muḥend ur t-issin.
Le pied de fer qui constitue l’appareil obsolescent du FFS composé de 5 personnes, comme un cheval de retour sans cavalier, est venu se gargariser à Tizi Ouzou pour réaffirmer deux objectifs :
1) l’allégeance au système en vue des élections législatives et municipales de l’année 2017 en prévision des quotas ;
2) la disponibilité de ce groupe de 5 personnes qui a squatté et dévoyé sans aucun scrupule le combat des militants kabyles de 1830, 1857, 1871, 1954, 1963 à s’offrir en service sans condition au système algérien après la mort de Aït Ahmed.
La traîtrise historique ainsi consommée, ce groupe ne perd aucune occasion pour pisser sans vergogne sur les martyrs du Printemps noir de Kabylie. C’est ce qu’il vient de perpétrer ce samedi 16 juillet à Tizi Ouzou.
Tout le monde se souvient aussi de l’ex-président de l’APW de Tizi Ouzou, issu du FFS ; un individu qui se dit artiste mais à la palette multifonctions qui, en prévision de son élection au Sénat, a tout simplement boycotté l’enterrement d’Aït Ahmed. Laissons soin aux lecteurs pour qualifier cette forme d’allégeance qui ferait honte à Bocchus même.
L’appareil de ce parti qui fait penser plus à l’antique « frigidaire » qu’à une organisation politique et qui a consommé une hémorragie sans précédent de ses militants et de ses élites s’est trouvé un violon d’Ingres par des attaques incessantes contre le MAK et, à travers lui, toute la communauté kabyle. Pour ce faire et pour camoufler les dissensions qui le traversent, il s’est inventé « un fédéral de Constantine » tout heureux de venir insulter les Kabyles à Tizi Ouzou et en arabe, alors que la fédération de Vgayet toute entière a démissionné et que At Yeḥya et Michelet, fiefs historiques du parti sont passés au FLN et au MPA.
L’opportunisme de l’appareil du FFS le rend aveugle et lui obture les neurones. En ce moment, il se prépare à commémorer le 20 Août sans doute pour tenter d’effacer des mémoires l’agression et la chasse à l’homme qu’il a perpétrées avec l’aide de la police algérienne des vétérans du FFS 63 partis organiser un sit-in au siège du parti à Alger.
Pour notre part, nous qui vivons avec et parmi les vrais militants du FFS qui n’ont pas renié les fondamentaux de leur parti, nous témoignons de leur disponibilité pour la Kabylie éternelle, n’en déplaise à tous les « fédéraux » inventés et à la clique d’oligarques qui squattent le FFS.
Tizi Ouzou, le 24 juillet 2016
Un groupe de patriotes kabyles
SIWEL 252244 JUL 16
Daɛwessu n taddart tewɛar
tfellu am terṣasin
Alvaɛḍ yuγ-iţ di dderya
ictaq ad isdukel sin
Alvaɛḍ yuγ-iţ di tferka
ur yerwi tivexsisin
Wayeḍ yuγ-iţ di ṛṛay-is
ula d Muḥend ur t-issin.
Le pied de fer qui constitue l’appareil obsolescent du FFS composé de 5 personnes, comme un cheval de retour sans cavalier, est venu se gargariser à Tizi Ouzou pour réaffirmer deux objectifs :
1) l’allégeance au système en vue des élections législatives et municipales de l’année 2017 en prévision des quotas ;
2) la disponibilité de ce groupe de 5 personnes qui a squatté et dévoyé sans aucun scrupule le combat des militants kabyles de 1830, 1857, 1871, 1954, 1963 à s’offrir en service sans condition au système algérien après la mort de Aït Ahmed.
La traîtrise historique ainsi consommée, ce groupe ne perd aucune occasion pour pisser sans vergogne sur les martyrs du Printemps noir de Kabylie. C’est ce qu’il vient de perpétrer ce samedi 16 juillet à Tizi Ouzou.
Tout le monde se souvient aussi de l’ex-président de l’APW de Tizi Ouzou, issu du FFS ; un individu qui se dit artiste mais à la palette multifonctions qui, en prévision de son élection au Sénat, a tout simplement boycotté l’enterrement d’Aït Ahmed. Laissons soin aux lecteurs pour qualifier cette forme d’allégeance qui ferait honte à Bocchus même.
L’appareil de ce parti qui fait penser plus à l’antique « frigidaire » qu’à une organisation politique et qui a consommé une hémorragie sans précédent de ses militants et de ses élites s’est trouvé un violon d’Ingres par des attaques incessantes contre le MAK et, à travers lui, toute la communauté kabyle. Pour ce faire et pour camoufler les dissensions qui le traversent, il s’est inventé « un fédéral de Constantine » tout heureux de venir insulter les Kabyles à Tizi Ouzou et en arabe, alors que la fédération de Vgayet toute entière a démissionné et que At Yeḥya et Michelet, fiefs historiques du parti sont passés au FLN et au MPA.
L’opportunisme de l’appareil du FFS le rend aveugle et lui obture les neurones. En ce moment, il se prépare à commémorer le 20 Août sans doute pour tenter d’effacer des mémoires l’agression et la chasse à l’homme qu’il a perpétrées avec l’aide de la police algérienne des vétérans du FFS 63 partis organiser un sit-in au siège du parti à Alger.
Pour notre part, nous qui vivons avec et parmi les vrais militants du FFS qui n’ont pas renié les fondamentaux de leur parti, nous témoignons de leur disponibilité pour la Kabylie éternelle, n’en déplaise à tous les « fédéraux » inventés et à la clique d’oligarques qui squattent le FFS.
Tizi Ouzou, le 24 juillet 2016
Un groupe de patriotes kabyles
SIWEL 252244 JUL 16