Ali Laskri (DR)
M. Laskri qui remplace Karim Tabou à la tête du secrétariat du FFS a nommé également quatre délégués du parti dont trois pour les régions de l'est, ouest et sud algérien, deux représentants à l'étranger et cinq conseillers dont Ahmed Djadaï et Djoudi Mammeri, qui ont déjà occupé le poste de Premier secrétaire.
Dans son intervention lors la session du Conseil national, Ali Laskri et après avoir analysé la situation politique en Algérie a affirmé que « pour le moment l’ère du temps est au statu quo, que la crise dans le pays gagne en complexité et en acuité ».
Il a ajouté qu'« après huit mois de l’annonce des "réformes" par le chef de l’État, on chercherait vainement une quelconque adhésion ou un quelconque intérêt des Algériens à ce processus ».
Abordant les échéances électorales à venir, législatives et locales, M. Laskri a indiqué que celles-ci « surviennent dans un contexte international, régional et national particulier ».
« Les interactions entre ces différents contextes auront un impact certain sur notre pays et que nous ne mesurons pas encore son ampleur et dans toutes ses dimensions. Mais il est certain que ces échéances seront décisives pour les années à venir. C’est pourquoi nous avons le devoir d’initier un débat libre, franc, serein et responsable pour déterminer nos choix politiques et notre stratégie. »
uz
SIWEL 091700 DEC 11
Dans son intervention lors la session du Conseil national, Ali Laskri et après avoir analysé la situation politique en Algérie a affirmé que « pour le moment l’ère du temps est au statu quo, que la crise dans le pays gagne en complexité et en acuité ».
Il a ajouté qu'« après huit mois de l’annonce des "réformes" par le chef de l’État, on chercherait vainement une quelconque adhésion ou un quelconque intérêt des Algériens à ce processus ».
Abordant les échéances électorales à venir, législatives et locales, M. Laskri a indiqué que celles-ci « surviennent dans un contexte international, régional et national particulier ».
« Les interactions entre ces différents contextes auront un impact certain sur notre pays et que nous ne mesurons pas encore son ampleur et dans toutes ses dimensions. Mais il est certain que ces échéances seront décisives pour les années à venir. C’est pourquoi nous avons le devoir d’initier un débat libre, franc, serein et responsable pour déterminer nos choix politiques et notre stratégie. »
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