Ces désormais ex-militants du FFS dénoncent la ligne politique adoptée par le parti et protestent contre les propos « despotique et incompatible avec les valeurs du FFS » tenus par leurs responsables fédéraux.
« La confiscation du parti par une équipe et à l’opposé de sa ligne stratégique, vise à l’inscrire dans un processus de normalisation pour mieux atteindre des objectifs inavoués », lit-on dans la déclaration dont les grandes lignes ont été arrêtées le 05 août lors d'une assemblée de la fédération locale et rendue publique aujourd'hui 02 septembre.
Selon des membres de cette section, « les responsables disent que chaque personne qui contredit la politique du parti sera radiée, ce qui est contraire aux pratiques politiques. Nous avons le droit de critiquer la démarche du FFS, ce qui est, avant tout, un devoir politique ». Face au refus de la direction d'ouvrir un débat de fond, les mécontents estiment que « la crise s’annonce prématurément volcanique à l’intérieur du parti ».
La crise qui secoue le parti de Hocine ait Ahmed depuis sa participation aux élections législatives, contre l’avis de sa base militante, n’arrive toujours pas à s’estomper.
Plusieurs autres militants et cadres du parti ont dénoncé, dans un passé récent, les accointances nées entre le vieux parti et le pouvoir. On évoque même la probable participation du FFS au futur gouvernement.
D’autres militants et cadres menacent aussi de se retirer du parti si la ligne adoptée par l’actuelle direction n’est pas remise en cause.
tt/aai
Siwel 021455sept12
« La confiscation du parti par une équipe et à l’opposé de sa ligne stratégique, vise à l’inscrire dans un processus de normalisation pour mieux atteindre des objectifs inavoués », lit-on dans la déclaration dont les grandes lignes ont été arrêtées le 05 août lors d'une assemblée de la fédération locale et rendue publique aujourd'hui 02 septembre.
Selon des membres de cette section, « les responsables disent que chaque personne qui contredit la politique du parti sera radiée, ce qui est contraire aux pratiques politiques. Nous avons le droit de critiquer la démarche du FFS, ce qui est, avant tout, un devoir politique ». Face au refus de la direction d'ouvrir un débat de fond, les mécontents estiment que « la crise s’annonce prématurément volcanique à l’intérieur du parti ».
La crise qui secoue le parti de Hocine ait Ahmed depuis sa participation aux élections législatives, contre l’avis de sa base militante, n’arrive toujours pas à s’estomper.
Plusieurs autres militants et cadres du parti ont dénoncé, dans un passé récent, les accointances nées entre le vieux parti et le pouvoir. On évoque même la probable participation du FFS au futur gouvernement.
D’autres militants et cadres menacent aussi de se retirer du parti si la ligne adoptée par l’actuelle direction n’est pas remise en cause.
tt/aai
Siwel 021455sept12