L'état de santé de Bouteflika, ne suscite « aucune inquiétude », a indiqué un communiqué du premier ministère algérien. « A la suite de l'accident ischémique transitoire sans séquelles que le président de la République Abdelaziz Bouteflika a subi hier (samedi), les explorations médicales complémentaires, effectuées à l'hôpital du Val-de-Grâce à Paris, ont confirmé que son état de santé ne suscitait aucune inquiétude », a ajouté le cabinet de Abdelmalek Sellal, qui précise que « cela étant, les activités officielles continueront à se dérouler normalement ».
Ne voulant pas garder le mystère sur la véritable santé de Bouteflika, le pouvoir tente de rattraper le coup en annonçant, de temps à autre, de nouvelles informations, mais sans réel effet sur la réalité. Ainsi, malgré les « assurances » du Premier ministre, il n’en demeure pas moins que Bouteflika ne pourra assumer ses responsabilités de chef de l’Etat.
Ceci étant, malgré son absence depuis plusieurs mois et son invalidité à assurer un bon fonctionnement de l’Etat, ses courtisans, pris de panique, tentent de gagner du temps, surtout en cette période de guerre déclarée entre les clans du pouvoir. Les accusations portées à l’encontre de Saïd Bouteflika, frère et conseiller d’Abdelaziz, sonnent comme un début de la fin « de la lune de miel » entre Bouteflika et le DRS. Ce dernier serait contre un autre mandat pour Bouteflika.
aai
SIWEL 28 1748 AVR 13
Ne voulant pas garder le mystère sur la véritable santé de Bouteflika, le pouvoir tente de rattraper le coup en annonçant, de temps à autre, de nouvelles informations, mais sans réel effet sur la réalité. Ainsi, malgré les « assurances » du Premier ministre, il n’en demeure pas moins que Bouteflika ne pourra assumer ses responsabilités de chef de l’Etat.
Ceci étant, malgré son absence depuis plusieurs mois et son invalidité à assurer un bon fonctionnement de l’Etat, ses courtisans, pris de panique, tentent de gagner du temps, surtout en cette période de guerre déclarée entre les clans du pouvoir. Les accusations portées à l’encontre de Saïd Bouteflika, frère et conseiller d’Abdelaziz, sonnent comme un début de la fin « de la lune de miel » entre Bouteflika et le DRS. Ce dernier serait contre un autre mandat pour Bouteflika.
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