Dans une déclaration envoyée à la presse servile algérienne, la gendarmerie évoque, pour la première fois, le cas des enlèvements en Kabylie. Elle évoque aussi un cas d’enlèvement à Illizi, ville du sud algérienne.
Dans sa missive, la gendarmerie précise qu’elle a déployé « des moyens d’investigations et de recherches judiciaires très importants, notamment à travers l’exploitation de scènes de crime par un groupe d’experts spécialisés de la gendarmerie nationale afin de préserver et de prélever tout indice pouvant conduire à la manifestation de la vérité et par conséquent, garantir l’intégrité physique des citoyens et sauvegarder leur vie humaine ». Oui, effectivement, la gendarmerie a déployé autant de moyens, mais pas pour mettre fin au calvaire des familles kabyles qui souffrent le martyrs des enlèvements, mais pour opprimer et suivre aux trousses les militants.
Comment peut-on expliquer que tous les téléphones des militants sont sur écoute, et que toutes leurs communications sont enregistrées, au moment où les criminels de tout acabit agissent en toute impunité. Toutes les conversations entre les familles de victimes et les assaillants se font par téléphone. Comment la gendarmerie qui dispose d’autant de moyens n’a pu localiser les lieux de l’émission de ces appels ?
Il y’a lieu aussi de signaler que les régions qui connaissent une forte activité criminelle et terroristes compte le plus grand nombre de campements militaires et de brigades de gendarmerie. « Cousu de fil blanc », le mensonge ne peut passer sans grabuges, surtout qu’entre la Kabylie et ce corps de répression une histoire s’est dessinée avec le sang de 128 kabyles et des milliers de blessés lors du Printemps noir de 2001. Il fauta jouter aussi que les deux ou trois affaires liées aux kidnappings qui ont atterrit à la justice ont été vite évacuées des débats publics. Des informations évoquent l’implication de plusieurs éléments de la gendarmerie dans ces actes criminels.
« A beau mentir qui vient de loin ». L’Etat algérien est perçu comme une force de colonisation en Kabylie. Sinon, comment expliquer la passivité des milliers d’éléments des services dits de sécurité devant la montée inquiétante des actes terroristes et criminels. Les Kabyles ont déjà dénoncé l’implication directe de la gendarmerie dans les feux de forêts dans la région. Comment expliquer que depuis le départ de ce corps de répression de la région entre 2001 et 2005, aucun acte criminel ou terroriste n’est enregistré ?
Comment expliquer aussi que depuis le redéploiement de ce corps dans certaines localités, les kidnappings et les meurtres animent le quotidien de ces régions. Autant de questions auxquelles la gendarmerie doit répondre. Le pillage du sable des rivières en Kabylie est assurée par le fils du général Boustila, premier responsable de ce corps. Plusieurs éléments de la gendarmerie sont impliqués dans des affaires de drogues, de vols, de viols et de corruption.
aai
SIWEL 22 1821 JUIL 14
Dans sa missive, la gendarmerie précise qu’elle a déployé « des moyens d’investigations et de recherches judiciaires très importants, notamment à travers l’exploitation de scènes de crime par un groupe d’experts spécialisés de la gendarmerie nationale afin de préserver et de prélever tout indice pouvant conduire à la manifestation de la vérité et par conséquent, garantir l’intégrité physique des citoyens et sauvegarder leur vie humaine ». Oui, effectivement, la gendarmerie a déployé autant de moyens, mais pas pour mettre fin au calvaire des familles kabyles qui souffrent le martyrs des enlèvements, mais pour opprimer et suivre aux trousses les militants.
Comment peut-on expliquer que tous les téléphones des militants sont sur écoute, et que toutes leurs communications sont enregistrées, au moment où les criminels de tout acabit agissent en toute impunité. Toutes les conversations entre les familles de victimes et les assaillants se font par téléphone. Comment la gendarmerie qui dispose d’autant de moyens n’a pu localiser les lieux de l’émission de ces appels ?
Il y’a lieu aussi de signaler que les régions qui connaissent une forte activité criminelle et terroristes compte le plus grand nombre de campements militaires et de brigades de gendarmerie. « Cousu de fil blanc », le mensonge ne peut passer sans grabuges, surtout qu’entre la Kabylie et ce corps de répression une histoire s’est dessinée avec le sang de 128 kabyles et des milliers de blessés lors du Printemps noir de 2001. Il fauta jouter aussi que les deux ou trois affaires liées aux kidnappings qui ont atterrit à la justice ont été vite évacuées des débats publics. Des informations évoquent l’implication de plusieurs éléments de la gendarmerie dans ces actes criminels.
« A beau mentir qui vient de loin ». L’Etat algérien est perçu comme une force de colonisation en Kabylie. Sinon, comment expliquer la passivité des milliers d’éléments des services dits de sécurité devant la montée inquiétante des actes terroristes et criminels. Les Kabyles ont déjà dénoncé l’implication directe de la gendarmerie dans les feux de forêts dans la région. Comment expliquer que depuis le départ de ce corps de répression de la région entre 2001 et 2005, aucun acte criminel ou terroriste n’est enregistré ?
Comment expliquer aussi que depuis le redéploiement de ce corps dans certaines localités, les kidnappings et les meurtres animent le quotidien de ces régions. Autant de questions auxquelles la gendarmerie doit répondre. Le pillage du sable des rivières en Kabylie est assurée par le fils du général Boustila, premier responsable de ce corps. Plusieurs éléments de la gendarmerie sont impliqués dans des affaires de drogues, de vols, de viols et de corruption.
aai
SIWEL 22 1821 JUIL 14