Cependant, il convient de préciser que Ferhat Mehenni ne comptait nullement prendre la parole en pareilles circonstances. En effet, répondant à l'insistance de certaine personnes présentes à cette cérémonie d'hommage qui lui demandaient de dire quelques mot à propos de Hocine Ait-Ahmed, avec qui il avait partagé quelques-unes des années de plomb de la dictature algérienne, Ferhat Mehenni s'est levé pour décliner la proposition et dire "ce n'était ni le lieu ni le moment pour faire un témoignage" mais Jugurtha Ait-Ahmed ne lui en a pas laissé le temps, celui-ci craignant sans doute, et à juste titre, une série d'interventions, s'est alors levé en disant à Ferhat Mehenni "pas de politique aujourd'hui". Il est à signaler qu'Ahmed Taleb et l'ambassadeur d'Algérie étaient également sur place et aucun n'avait pris la parole. Ferhat Mehenni, en Kabyle digne, a respecté la volonté de la famille qu'il a saluée pour avoir décidé d'enterrer Ait Ahmed dans son village au cœur de la Kabylie.
Par ailleurs, toujours selon le député algérien Chafaâ Bouaiche, cité par le journal du DRS algérien, Algérie-patriotiquen appartenant au fils du général Khaled Nezzar, l'ennemi juré d'Ait Ahmed : « Selon ce qu’a rapporté le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS), Chafaâ Bouaiche, sur sa page Facebook, le chef et fondateur du Mouvement de "l’autonomie" de la Kabylie n’a pas pu serrer la main, comme il l’aurait voulu, au fils de Hocine Aït Ahmed, Jugurtha, qui l’a gentiment évité. Ferhat Mehenni n’a pas non plus réussi à prendre la parole lors de ce recueillement organisé au domicile »
La question que devrait se poser ce député algérien, c'est comment une personne peut-elle accueillir quelqu'un chez elle, l'introduire dans sa propre maison sans respecter ne serait-ce que les règles élémentaires de politesse et saluer une personne que l'on fait entrer chez soi ? Jusqu'à preuve du contraire, Ferhat Mehenni ne s’est pas introduit au domicile des Ait-Ahmed "par effraction"...
D'autre part, selon une autre source arabo-islamique, le journal "Ennahar" en l’occurrence « le fils d'Ait Ahmed à refusé que Ferhat Mehenni rende un dernier hommage au défunt. ».... Du coup, on ne sait plus qui d'Ennahar ou de Chafaâ Bouaiche a lancé cette polémique indigne d'un hommage funéraire et dévoilant par-là même que ces "braves gens" avaient beaucoup plus à l'esprit de nuire à Ferhat Mehenni que de rendre hommage à Hocine Ait-Ahmed.
mti,
SIWEL 291410 DEC 15
Par ailleurs, toujours selon le député algérien Chafaâ Bouaiche, cité par le journal du DRS algérien, Algérie-patriotiquen appartenant au fils du général Khaled Nezzar, l'ennemi juré d'Ait Ahmed : « Selon ce qu’a rapporté le chef du groupe parlementaire du Front des forces socialistes (FFS), Chafaâ Bouaiche, sur sa page Facebook, le chef et fondateur du Mouvement de "l’autonomie" de la Kabylie n’a pas pu serrer la main, comme il l’aurait voulu, au fils de Hocine Aït Ahmed, Jugurtha, qui l’a gentiment évité. Ferhat Mehenni n’a pas non plus réussi à prendre la parole lors de ce recueillement organisé au domicile »
La question que devrait se poser ce député algérien, c'est comment une personne peut-elle accueillir quelqu'un chez elle, l'introduire dans sa propre maison sans respecter ne serait-ce que les règles élémentaires de politesse et saluer une personne que l'on fait entrer chez soi ? Jusqu'à preuve du contraire, Ferhat Mehenni ne s’est pas introduit au domicile des Ait-Ahmed "par effraction"...
D'autre part, selon une autre source arabo-islamique, le journal "Ennahar" en l’occurrence « le fils d'Ait Ahmed à refusé que Ferhat Mehenni rende un dernier hommage au défunt. ».... Du coup, on ne sait plus qui d'Ennahar ou de Chafaâ Bouaiche a lancé cette polémique indigne d'un hommage funéraire et dévoilant par-là même que ces "braves gens" avaient beaucoup plus à l'esprit de nuire à Ferhat Mehenni que de rendre hommage à Hocine Ait-Ahmed.
mti,
SIWEL 291410 DEC 15