Idir Mouffok, assassiné hier par 3 voyous à Tizi-Ouzou (PH/DR)
Les voyous de la ville de Tizi Wezzu (Tizi-Ouzou) sont régulièrement instrumentalisés par l'administration coloniale algérienne. Comme ce fut le cas notamment lors des campagnes électorales de Bouteflika menées par le Bachagha Ould Ali El Hadi, promu ministre depuis, et tout récemment pour tenter de mener des agressions contre les membres du Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie (MAK).
Les liens entre la délinquance de Tizi Wezzu et les services répressifs de l'Etat colonial algérien sont tels que les voyous de Tizi Wezzu, certains de leurs impunité, ne craignent pas d'assassiner au vu et au su de tous. Les kabyles eux sont pieds et poings liés, incapables de faire régner les lois ancestrales (bannies par la France puis par l'Algérie) qui garantissaient la paix et la sécurité en Kabylie.
Pis encore, aujourd'hui, ils sont sous le coup de la justice algérienne qui assure l'impunité des criminels au détriment des honnêtes citoyens, et dans certains cas, passe même à leur "incarcération" au cas où ils leur viendrait l'idée de protester et ou de dénoncer. C'est aussi le cas des détenus mozabites de Ghardaia qui ont eu l'audace de dénoncer les crimes dont ils étaient victimes.
L'enterrement du jeune Idir aura lieu demain samedi 21 mai dans son village natal à Zaknun, dans L3arch des At Wasif.
Mise à jour : Après vérification, il s'est avéré que Idir n'est pas un étudiant mais un habitant du quartier.
cdb/zp/myd/wbw
SIWEL 201831 MAI 16
Les liens entre la délinquance de Tizi Wezzu et les services répressifs de l'Etat colonial algérien sont tels que les voyous de Tizi Wezzu, certains de leurs impunité, ne craignent pas d'assassiner au vu et au su de tous. Les kabyles eux sont pieds et poings liés, incapables de faire régner les lois ancestrales (bannies par la France puis par l'Algérie) qui garantissaient la paix et la sécurité en Kabylie.
Pis encore, aujourd'hui, ils sont sous le coup de la justice algérienne qui assure l'impunité des criminels au détriment des honnêtes citoyens, et dans certains cas, passe même à leur "incarcération" au cas où ils leur viendrait l'idée de protester et ou de dénoncer. C'est aussi le cas des détenus mozabites de Ghardaia qui ont eu l'audace de dénoncer les crimes dont ils étaient victimes.
L'enterrement du jeune Idir aura lieu demain samedi 21 mai dans son village natal à Zaknun, dans L3arch des At Wasif.
Mise à jour : Après vérification, il s'est avéré que Idir n'est pas un étudiant mais un habitant du quartier.
cdb/zp/myd/wbw
SIWEL 201831 MAI 16