Hamid Crime, ministre algérien de la communication, et son armée coloniale ont rebroussé chemin après avoir été empêchés par les habitants de la region d'Azeffoun de se recueillir sur la tombe de Tahar Djaout.
Tahar Dajout est un écrivain, poète, romancier et journaliste kabyle d'expression française, né le 11 janvier 1954 à Oulkhou, commune d'Aït Chafâa, Tizi Ouzou. Il a été tué de deux balles dans la tête par un commando algérien, à alger, le 26 mai 1993. Il fut l'un des premiers intellectuels victime du terrorisme en Algerie. Il est enterré le 4 juin dans son village natal d'Oulkhou.
Ce n'est pas par hasard ni par amour que les visites du pouvoir colonial algérien se multiplient ces derniers temps en Kabylie. L'effritement du régime et son affaiblissement, les scandales de corruption qui touchent ses dirigeants et la crise économique le pousse à emprunter des détours afin de leurrer l'opinion publique en essayant de la manipuler pour s'éviter une fin plus que certaine.
La Kabylie, bastion de la révolution de 1954, est l'unique région qui tient la tête à ce pouvoir despotique et assassin. Bâtie par ses propres enfants après avoir été délaissée par les autorités algériennes, la Kabylie n'aspire maintenant qu'un sa liberté en réclamant sa séparation du reste du pays pour subvenir à ses propres besoins et s'auto-gérer avec sérieux et transparence.
Le peuple Kabyle à toujours manifesté son mécontentement et sa résistance face à ce pouvoir mafieux qui pille ses richesses et avilit ses citoyens. Ce n'est pas la première fois que des habitants de cette région frondeuse parviennent à mettre en échec les pratiques machiavéliques orchestrées par le pouvoir colonial algérien pour garder la main mise sur ce territoire insoumis. Il y a eu maintes démonstrations de mobilisation anti-régime dans les villages et villes de la Kabylie. Aujourd'hui, c'est autour du Mouvement de l'Autodétermination de la Kabylie que le processus de la libération est entrain de se concrétiser. La lutte est à son aboutissement.
De ce fait, les habitants d'Azzeffoun rejettent le mal et le malheur grâce à leur lucidité et leur sagesse et rendent ainsi honneur non seulement à un frère victime d'un système macabre et intolerant mais à tous les martyrs de la Kabylie et surtout à la kabylie.
Leur grandeur, leur courage et leur merveilleux message à atteint Les squateurs d'El Mouradia et aussi les quatre coins de la planète.
Gloire à nos martyrs et vive la Kabylie libre et indépendante.
Boualem Afir
Tahar Dajout est un écrivain, poète, romancier et journaliste kabyle d'expression française, né le 11 janvier 1954 à Oulkhou, commune d'Aït Chafâa, Tizi Ouzou. Il a été tué de deux balles dans la tête par un commando algérien, à alger, le 26 mai 1993. Il fut l'un des premiers intellectuels victime du terrorisme en Algerie. Il est enterré le 4 juin dans son village natal d'Oulkhou.
Ce n'est pas par hasard ni par amour que les visites du pouvoir colonial algérien se multiplient ces derniers temps en Kabylie. L'effritement du régime et son affaiblissement, les scandales de corruption qui touchent ses dirigeants et la crise économique le pousse à emprunter des détours afin de leurrer l'opinion publique en essayant de la manipuler pour s'éviter une fin plus que certaine.
La Kabylie, bastion de la révolution de 1954, est l'unique région qui tient la tête à ce pouvoir despotique et assassin. Bâtie par ses propres enfants après avoir été délaissée par les autorités algériennes, la Kabylie n'aspire maintenant qu'un sa liberté en réclamant sa séparation du reste du pays pour subvenir à ses propres besoins et s'auto-gérer avec sérieux et transparence.
Le peuple Kabyle à toujours manifesté son mécontentement et sa résistance face à ce pouvoir mafieux qui pille ses richesses et avilit ses citoyens. Ce n'est pas la première fois que des habitants de cette région frondeuse parviennent à mettre en échec les pratiques machiavéliques orchestrées par le pouvoir colonial algérien pour garder la main mise sur ce territoire insoumis. Il y a eu maintes démonstrations de mobilisation anti-régime dans les villages et villes de la Kabylie. Aujourd'hui, c'est autour du Mouvement de l'Autodétermination de la Kabylie que le processus de la libération est entrain de se concrétiser. La lutte est à son aboutissement.
De ce fait, les habitants d'Azzeffoun rejettent le mal et le malheur grâce à leur lucidité et leur sagesse et rendent ainsi honneur non seulement à un frère victime d'un système macabre et intolerant mais à tous les martyrs de la Kabylie et surtout à la kabylie.
Leur grandeur, leur courage et leur merveilleux message à atteint Les squateurs d'El Mouradia et aussi les quatre coins de la planète.
Gloire à nos martyrs et vive la Kabylie libre et indépendante.
Boualem Afir