« Devant cette état de consternation générale, le comité de village d’Ath Kouffi est plus que jamais déterminé à ne pas baisser les bras et à défendre bec et ongles et sans relâche cette affaire jusqu’à ce que les auteurs et la pègre de lâches qui l’ont assassiné soient arrêtés à la hauteur du crime ainsi commis », lit-on dans une déclaration signée par le comité de village.
Le comité d’Ath Kouffi souhaite l’arrestation et le jugement de ces gangsters assassins, l’octroi du statut de victime de terrorisme à la victime et l’instauration et rétablissement de la sécurité dans la région de Boghni.
« Désormais, l’heure est à la lutte contre la criminalité pour sauvegarder notre dignité et se libérer des jougs des assassins dès lors que personne n’est à l’abri de la violence », ajoutent-ils tout en dénonçant l’absence de sécurité dans cette ville face à une population laissée pour compte et à des groupes armés qui ont fait de cette ville le « vieux far-west ».
Des citoyens ont relevé le fait que la région de Kabylie est « la plus quadrillée par l’armée et les services dits de sécurité », mais « elle vit au rythme de l’insécurité ». Selon d’autres, seuls les autorités concernées peuvent apporter une réponse à cette interrogation, si ce n’est « une volonté pour instaurer le marasme et la violence dans la région ».
tt/aai
SIWEL 30 1633 JUIL12
Le comité d’Ath Kouffi souhaite l’arrestation et le jugement de ces gangsters assassins, l’octroi du statut de victime de terrorisme à la victime et l’instauration et rétablissement de la sécurité dans la région de Boghni.
« Désormais, l’heure est à la lutte contre la criminalité pour sauvegarder notre dignité et se libérer des jougs des assassins dès lors que personne n’est à l’abri de la violence », ajoutent-ils tout en dénonçant l’absence de sécurité dans cette ville face à une population laissée pour compte et à des groupes armés qui ont fait de cette ville le « vieux far-west ».
Des citoyens ont relevé le fait que la région de Kabylie est « la plus quadrillée par l’armée et les services dits de sécurité », mais « elle vit au rythme de l’insécurité ». Selon d’autres, seuls les autorités concernées peuvent apporter une réponse à cette interrogation, si ce n’est « une volonté pour instaurer le marasme et la violence dans la région ».
tt/aai
SIWEL 30 1633 JUIL12